Bouillon de culture


Mercredi 14 Février 2018

Box-office
"Cinquante nuances plus claires", troisième et dernier épisode des aventures érotiques de Christian Grey et Anastasia Steele, a pris la tête du box-office nord-américain pour son premier week-end en salles, selon les chiffres définitifs de la société spécialisée Exhibitor Relations lundi. Dans ce volet adapté de la trilogie à succès des romans de la Britannique E. L. James, on retrouve les deux héros --incarnés par Jamie Dornan et Dakota Johnson-- en jeunes mariés s'adonnant toujours à leurs jeux érotiques empreints de sado-masochisme. Mais des menaces à leur bonheur surgissent. Le film réalisé par James Foley a rapporté 38,6 millions de dollars entre vendredi et dimanche. Ce qui représente un début "solide", a commenté Paul Dergarabedian, analyste de Comscore, dans un communiqué. Selon lui, le premier volet a récolté 85,2 millions de dollars à sa sortie pour la Saint-Valentin 2015 et le second, qui ne s'est placé qu'en deuxième position en 2016, 46,6 millions de dollars. La franchise a vendu à ce stade pour plus d'un milliard de dollars de billets dans le monde, a-t-il relevé.

Projection
Le long-métrage "Zero" du réalisateur marocain Noureddine Lakhmari a été projeté, lundi soir à Bruxelles, dans le cadre du Festival Moussem Cities qui met, tout au long du mois de février, la ville de Casablanca à l'honneur à travers diverses activités culturelles et artistiques.
Cette fiction, deuxième volet d’une trilogie dont les événements se déroulent à Casablanca, raconte l'histoire d'un policier, alias Zero, un looser en routine qui s'est transformé en justicier solitaire mais qui réussit à prendre conscience de ses actes et de son environnement grâce à une femme, Docteur Ghita.
Cette rencontre bouleverse sa vie et lui permet de se poser d'autres questions. «Zero est un film sur la rédemption, un concept qui a une dimension à la fois humaine et universelle», a expliqué le cinéaste lors d’un échange avec l’assistance à l’issue de la projection du film au Palais du Bozar à Bruxelles. Il dépeint un personnage qui, dit-il, "est parvenu à se libérer, à être en paix avec lui-même».


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