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Statut de l'artiste
Le ministre de la Culture et de la Communication, Mohamed Laâraj, a indiqué, lundi à Rabat, que son département a mis en place un plan exécutif qui prévoit, notamment, d’accorder une place de choix au statut de l’artiste, en tant qu’acteur majeur pour promouvoir les volets économique, social et culturel.
Répondant à une question orale sur "La situation sociale des artistes marocains", présentée par le groupe du Rassemblement constitutionnel à la Chambre des représentants, M. Laâraj a souligné que son département a œuvré pour promouvoir la situation de l'artiste via la mise en œuvre d’un nombre de décrets relatifs à la loi de l'artiste, visant à accorder une place privilégiée à cette catégorie, que ce soit par le biais du décret sur la délivrance de la carte d'artiste ou celui fixant la liste des métiers artistiques.
Dans le même contexte, le responsable gouvernemental a rappelé qu'il y aura d'autres décrets en phase d’adoption, notamment avec le ministère de l'Emploi et de l'Insertion professionnelle et le ministère de la Santé, visant à renforcer la place essentielle de l'artiste dans la promotion économique et sociale.
Colloque
Un colloque international sera organisé les 12 et 13 juin à Rabat par l'Académie du Royaume du Maroc en hommage à l'humaniste Haïm Zafrani, une figure du judaïsme marocain et de la culture marocaine en général.
Cet hommage sera l'occasion de se pencher sur les travaux de cet éminent humaniste portant sur divers thèmes ayant trait aux juifs marocains, à leurs conditions de vie dans les villes et les campagnes du pays, aux rapports inter-communautaires, et à l'esquisse d'un état des lieux et des perspectives de recherches sur le judaïsme marocain, toutes dimensions confondues, au Maroc même et à l’étranger, indique un communiqué de l'Académie.
Ce chercheur et pédagogue infatigable, qui a été par ailleurs étroitement associé après 1956 à l’introduction de l’enseignement de la langue arabe dans les programmes des écoles de l’Alliance israélite universelle devenue Ittihad al Maghrib, a conçu et rédigé ses livres et ses articles en se fondant sur une profusion d’archives et de toutes sortes de documents, notamment en hébreu.
Le ministre de la Culture et de la Communication, Mohamed Laâraj, a indiqué, lundi à Rabat, que son département a mis en place un plan exécutif qui prévoit, notamment, d’accorder une place de choix au statut de l’artiste, en tant qu’acteur majeur pour promouvoir les volets économique, social et culturel.
Répondant à une question orale sur "La situation sociale des artistes marocains", présentée par le groupe du Rassemblement constitutionnel à la Chambre des représentants, M. Laâraj a souligné que son département a œuvré pour promouvoir la situation de l'artiste via la mise en œuvre d’un nombre de décrets relatifs à la loi de l'artiste, visant à accorder une place privilégiée à cette catégorie, que ce soit par le biais du décret sur la délivrance de la carte d'artiste ou celui fixant la liste des métiers artistiques.
Dans le même contexte, le responsable gouvernemental a rappelé qu'il y aura d'autres décrets en phase d’adoption, notamment avec le ministère de l'Emploi et de l'Insertion professionnelle et le ministère de la Santé, visant à renforcer la place essentielle de l'artiste dans la promotion économique et sociale.
Colloque
Un colloque international sera organisé les 12 et 13 juin à Rabat par l'Académie du Royaume du Maroc en hommage à l'humaniste Haïm Zafrani, une figure du judaïsme marocain et de la culture marocaine en général.
Cet hommage sera l'occasion de se pencher sur les travaux de cet éminent humaniste portant sur divers thèmes ayant trait aux juifs marocains, à leurs conditions de vie dans les villes et les campagnes du pays, aux rapports inter-communautaires, et à l'esquisse d'un état des lieux et des perspectives de recherches sur le judaïsme marocain, toutes dimensions confondues, au Maroc même et à l’étranger, indique un communiqué de l'Académie.
Ce chercheur et pédagogue infatigable, qui a été par ailleurs étroitement associé après 1956 à l’introduction de l’enseignement de la langue arabe dans les programmes des écoles de l’Alliance israélite universelle devenue Ittihad al Maghrib, a conçu et rédigé ses livres et ses articles en se fondant sur une profusion d’archives et de toutes sortes de documents, notamment en hébreu.