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Le court métrage narre l'histoire d'une femme dans la quarantaine qui se remémore le crime de viol dont elle a été victime à l'âge de cinq ans lorsqu'elle a décidé de revenir sur les lieux de son enfance pour se délivrer de souvenirs douloureux l’ayant marquée à jamais.
Dans une déclaration à la MAP, le réalisateur d'Alice a souligné à l'occasion de la projection du film que le recours à la couleur rouge qui renvoie au sang et celle blanche pour évoquer le lait est une association de deux paradoxes, dans la mesure où la première symbolise la mort et la seconde la vie pour illustrer un cas de violation de l'innocence. Le film s'inspire de faits réels rapportés par un journal qui traitait un cas de viol et de meurtre d'une enfant, a-t-il ajouté.
Le film “Alice” a remporté le prix du meilleur court métrage arabe lors de la 7ème édition du Festival international du film de Delhi (DIFF) et le grand prix des journées de Fès de la communication cinématographie en décembre dernier. Aujourd’hui, "Alice" est en compétition dans la catégorie du court métrage aux côtés du film franco-marocain "Yasmina" des réalisateurs Ali Smail et Clair Kahin et 16 autres courts métrages africains.