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Alain Akouala Atipault, ministre congolais à la Présidence : Nous apprécions particulièrement la volonté du Maroc de partager son expérience avec les autres pays africainsSignature de deux conventions entre le Maroc et le CongoLundi 29 Septembre 2014
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Examiner les opportunités d'investissement et les moyens de diversifier la coopération économique dans le domaine énergétique entre le Maroc et le Congo. Tel est l’objectif de la rencontre qui a réuni, vendredi 26 courant, une importante délégation d’hommes d’affaires marocains et leurs homologues congolais à Brazzaville, au Congo. Organisée dans le cadre de la caravane de partenariat « Action lumière », une initiative du Centre marocain de promotion des exportations (Maroc Export), en partenariat avec la Fédération nationale de l’électricité, de l’électronique et des énergies renouvelables (Fénélec), cette rencontre visait également à permettre aux entreprises des deux pays d’échanger leur savoir-faire sur des solutions innovantes. Saluant le niveau économique atteint par le Maroc, le ministre congolais à la Présidence, chargé des Zones économiques et spéciales (ZES), Alain Akouala Atipault, a déclaré lors de son intervention que «le niveau de développement technologique actuel du Royaume du Maroc fait incontestablement aujourd’hui de ce pays un véritable modèle à travers le continent africain ». Les Dépêches de Brazzaville, un journal local, qui rapporte les propos du ministre congolais, ajoute que ce dernier a indiqué que «c’est la raison pour laquelle nous apprécions particulièrement la volonté du Maroc de partager son savoir, son expérience et ses réussites avec d’autres pays africains tels que le Congo». Une volonté que les autorités congolaises ont pu constater à travers l’importance de la délégation marocaine conduite, à cette occasion, par le secrétaire général du ministère délégué auprès du ministre de l'Industrie, du Commerce, de l'Investissement et de l'Economie numérique, Mohamed Benayad. Il est à souligner que près d’une centaine d’entreprises spécialisées en électricité, électronique et ressources renouvelables ont pris part à cette rencontre, qui s’est soldée par la signature de deux conventions, dans le domaine de l’électricité, de l’électronique et des énergies renouvelables. La première convention a été signée entre la Fénélec et l’ACPIP (Association congolaise des professionnels d’incendie et de prévention). La seconde a, quant à elle, été signée entre la Société nationale d’électricité du Congo (SNE) et le Laboratoire public d’essais et d’études du Maroc. Invitant la délégation marocaine à s’intéresser également à d’autres secteurs, le ministre congolais a rappelé aux opérateurs marocains que « le Congo possède des potentialités économiques au-delà des secteurs retenus par la mission de prospection notamment dans l’agro-industrie, la transformation du bois, les mines, le bâtiment et travaux publics, le tourisme et l’hôtellerie, pour ne citer que ceux-là », écrit le journal brazzavillois. Profitant de cette tribune, fait remarquer la publication, l’autorité congolaise a informé les Marocains de ce que le Congo met en place des ZES, en vue de booster les investissements, d’assurer la transformation locale des matières premières et d’accroître les exportations. Notons que les opérateurs congolais ont cité parmi les obstacles au développement des échanges entre le Maroc et le Congo, celui du déplacement des hommes et des biens. Selon le président de l’Union congolaise des MPE, Théophile Samba, «un aller-retour Brazzaville-Dubaï coûte 289 mille (4885 DH) alors pour Brazzaville-Casablanca coûte plus de 700 mille (11.832 DH). Avec un seul voyage sur Casa, je finance deux voyages d’affaires à Dubaï », rapporte les Dépêches de Brazzaville. Il est à noter que la rencontre de Brazzaville était la troisième et dernière étape de cette tournée, après Ouagadougou (Burkina Faso) et Libreville (Gabon).
Alain Bouithy
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