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Le Festival du cinéma arabe "Aflam du Sud", qui s'ouvre jeudi à Bruxelles, fait la part belle au 7ème art national avec trois films marocains au programme dont deux long-métrages.
Parmi les trois films marocains au menu de cette troisième édition du Festival du cinéma arabe "Aflam du Sud", c'est le court-métrage "Margelle" du réalisateur Omar Mouldouira qui ouvre le bal des projections.
Le film de 29 minutes raconte l'histoire d'un enfant de sept ans et fils unique de parents modestes qui se débat avec ses peurs d'enfant et son désir pressant d'être un homme.
Les longs-métrages marocains "Derrière les portes fermées" (102') et “Yemma” (100') sont également au programme de cette manifestation cinématographique (23 au 26 octobre) qui se concentrera sur le "Cinéma de l'espoir", avec la projection de films très marquants qui rendent compte des mutations et évolutions que connait le monde arabe.
Le premier du réalisateur Mohamed Ahed Bensouda traite de la problématique du harcèlement sexuel au travail et le deuxième, signé Rachid Elouali, d'une relation d'amour entre un Marocain de 40 ans et une jeune femme de Corse.
D'autres productions arabes et européennes, notamment de Syrie, de Belgique, de Tunisie, de Palestine, d'Arabie Saoudite, de France, d'Allemane, de Liban, des Emirats arabes Unis et d'Irak seront également projetées au 3ème Festival des films du Sud de Bruxelles.
Cette manifestation interroge les frontières entre l'Orient et l'Occident à travers des fictions, des documentaires et des courts-métrages inédits ou peu connus en Belgique à un moment où le monde arabe est en bouillonnement de créativité cinématographique.
Parmi les trois films marocains au menu de cette troisième édition du Festival du cinéma arabe "Aflam du Sud", c'est le court-métrage "Margelle" du réalisateur Omar Mouldouira qui ouvre le bal des projections.
Le film de 29 minutes raconte l'histoire d'un enfant de sept ans et fils unique de parents modestes qui se débat avec ses peurs d'enfant et son désir pressant d'être un homme.
Les longs-métrages marocains "Derrière les portes fermées" (102') et “Yemma” (100') sont également au programme de cette manifestation cinématographique (23 au 26 octobre) qui se concentrera sur le "Cinéma de l'espoir", avec la projection de films très marquants qui rendent compte des mutations et évolutions que connait le monde arabe.
Le premier du réalisateur Mohamed Ahed Bensouda traite de la problématique du harcèlement sexuel au travail et le deuxième, signé Rachid Elouali, d'une relation d'amour entre un Marocain de 40 ans et une jeune femme de Corse.
D'autres productions arabes et européennes, notamment de Syrie, de Belgique, de Tunisie, de Palestine, d'Arabie Saoudite, de France, d'Allemane, de Liban, des Emirats arabes Unis et d'Irak seront également projetées au 3ème Festival des films du Sud de Bruxelles.
Cette manifestation interroge les frontières entre l'Orient et l'Occident à travers des fictions, des documentaires et des courts-métrages inédits ou peu connus en Belgique à un moment où le monde arabe est en bouillonnement de créativité cinématographique.