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L'artiste peintre et photographe Farah Chaoui expose jusqu'au 11 novembre prochain, ses œuvres au Centre culturel Atlas Golf de Marrakech.
Artiste autodidacte, Chaoui ne peut être enfermée dans un courant précis, d'autant plus que sa démarche est "instinctuelle et fluctuante", indique-t-on dans une note de présentation de l'artiste.
Peintre chercheuse, elle passe des toiles grands formats très colorés, à de petits formats précis mais vifs et spontanés, renouvelant sans cesse son art.
Si certaines de ses toiles font penser à l'art brut ou à l'art singulier, d'autres sont nettement expressionnistes, voire orphiques ou abstraites, souligne la même source.
Quand elle peint, elle s'absente du monde, se met en étroite relation avec la toile et donne libre cours à son intériorité.
"Face à la toile blanche, je ne sais jamais ce que je vais peindre. Je laisse sortir de moi toute une énergie qui se libère, de manière très spontanée", a-t-elle affirmé.
La peinture devient ainsi un combat ou plutôt une sorte de danse où rien ne laisse prévoir ce qui va sortir.
L'artiste franco-marocaine a aussi une grande sensibilité visuelle, qu'elle capte par la photographie. L'artiste qui ne cache pas sa passion et son admiration pour la cité ocre, affirme que cette ville a "un charme particulier qui la rend unique". Farah Chaoui a suivi des cours à l'Académie Charpentier à Paris, ainsi qu'une école de photo à Toulouse. Elle a monté plusieurs expositions au Maroc et à l'étranger.
Artiste autodidacte, Chaoui ne peut être enfermée dans un courant précis, d'autant plus que sa démarche est "instinctuelle et fluctuante", indique-t-on dans une note de présentation de l'artiste.
Peintre chercheuse, elle passe des toiles grands formats très colorés, à de petits formats précis mais vifs et spontanés, renouvelant sans cesse son art.
Si certaines de ses toiles font penser à l'art brut ou à l'art singulier, d'autres sont nettement expressionnistes, voire orphiques ou abstraites, souligne la même source.
Quand elle peint, elle s'absente du monde, se met en étroite relation avec la toile et donne libre cours à son intériorité.
"Face à la toile blanche, je ne sais jamais ce que je vais peindre. Je laisse sortir de moi toute une énergie qui se libère, de manière très spontanée", a-t-elle affirmé.
La peinture devient ainsi un combat ou plutôt une sorte de danse où rien ne laisse prévoir ce qui va sortir.
L'artiste franco-marocaine a aussi une grande sensibilité visuelle, qu'elle capte par la photographie. L'artiste qui ne cache pas sa passion et son admiration pour la cité ocre, affirme que cette ville a "un charme particulier qui la rend unique". Farah Chaoui a suivi des cours à l'Académie Charpentier à Paris, ainsi qu'une école de photo à Toulouse. Elle a monté plusieurs expositions au Maroc et à l'étranger.