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Les ministres se relaient pour ressasser la même rengaine
«L’USFP est aux côtés de la société, des partenaires politiques et sociaux et ouvert à toute action unitaire pour un projet de développement démocratique et d’unité ». C’est ainsi que s’est adressé dimanche le Premier secrétaire du parti, Driss Lachguar, à l’ouverture du VIème Congrès provincial de Marrakech.
Depuis le IXème Congrès du parti, les Ittihadis ont pis la décision de s’ouvrir sur toutes les composantes de la société, et ce après s’être convaincus que les Ittihadis ne sont pas uniquement ceux disposant de la carte d’adhésion à l’USFP, mais aussi les citoyens, toutes les franges de la société, qui partagent les mêmes valeurs du parti, a tenu à préciser le Premier secrétaire.
« Le temps est venu de s’ouvrir à toutes les Ittihadies et à tous les Ittihadis », pour concrétiser le contrat fixé par les résolutions du IXème Congrès prises après un check- up de la situation du parti, a-t-il fait savoir
« Le mouvement social au Maroc n’est pas né avec l’avènement du 20 Février, mais avait commencé depuis les années 1960 et le rapport de l’Instance équité et réconciliation (IER) témoigne de l’ampleur des sacrifices consentis par les militants de l’USFP », a-t-il souligné.
Par ailleurs, Driss Lachguar a saisi cette occasion pour s’arrêter sur la piètre prestation de la politique de Benkirane marquée, entre autres, par son hostilité manifeste à la femme et ses droits, ses tentatives d’entraver le rôle de contrôle de l’opposition au sein du Parlement, son choix de ses interlocuteurs dans les partis et les syndicats, ce qui laisse craindre d’autres dérives.
Le mépris du gouvernement affiché à l’égard de la femme a nui fortement à l’image du Maroc auprès des instances internationales, et ce au moment où le Royaume a déployé d’énormes efforts pour montrer le bon exemple en matière de démocratie, ce qui a eu des conséquences positives sur la question de notre intégrité territoriale dont le dernier rapport du secrétaire général de l’ONU, a-t-il fait savoir.
Concernant la prestation du gouvernement Benkirane et à titre comparatif avec celle d’El Youssoufi qui a accepté de mener l’expérience d’alternance dans des conditions des plus difficiles évitant par là même au Maroc la crise cardiaque, Driss Lachguar a tenu à préciser qu’en dépit des larges prérogatives dont dispose Benkirane, son bilan est insignifiant.
Il a également mis en garde contre la politique antisociale de l’Exécutif marquée par les nombreuses régressions enregistrées à tous les niveaux: santé, enseignement, emploi, habitat, libertés syndicales, entre autres. Dans ce sens, il a fait savoir que le gouvernement El Youssoufi a évité au Maroc la crise cardiaque, alors que Benkirane l’y a mené direcement.
Plusieurs questions d’actualité ont été évoquées par le Premier secrétaire, notamment la coordination entre les partis de l’opposition au Parlement, la mobilisation et l’adhésion des citoyens à l’opération électorale à même de réhabiliter l’action politique, l’ouverture sur la société, entre autres.
Par ailleurs et à l’issue des travaux du Congrès, les congressistes ont élu Abdelhak Andalib, nouveau secrétaire provincial du parti ainsi que les 29 membres composant le secrétariat.
Depuis le IXème Congrès du parti, les Ittihadis ont pis la décision de s’ouvrir sur toutes les composantes de la société, et ce après s’être convaincus que les Ittihadis ne sont pas uniquement ceux disposant de la carte d’adhésion à l’USFP, mais aussi les citoyens, toutes les franges de la société, qui partagent les mêmes valeurs du parti, a tenu à préciser le Premier secrétaire.
« Le temps est venu de s’ouvrir à toutes les Ittihadies et à tous les Ittihadis », pour concrétiser le contrat fixé par les résolutions du IXème Congrès prises après un check- up de la situation du parti, a-t-il fait savoir
« Le mouvement social au Maroc n’est pas né avec l’avènement du 20 Février, mais avait commencé depuis les années 1960 et le rapport de l’Instance équité et réconciliation (IER) témoigne de l’ampleur des sacrifices consentis par les militants de l’USFP », a-t-il souligné.
Par ailleurs, Driss Lachguar a saisi cette occasion pour s’arrêter sur la piètre prestation de la politique de Benkirane marquée, entre autres, par son hostilité manifeste à la femme et ses droits, ses tentatives d’entraver le rôle de contrôle de l’opposition au sein du Parlement, son choix de ses interlocuteurs dans les partis et les syndicats, ce qui laisse craindre d’autres dérives.
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