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Dans une déclaration à la MAP en marge du lancement de l'Institut africain de géopolitique (IAGeo), le spécialiste français a indiqué que ce conflit qui est "un reliquat de la guerre froide", "nuit à la solidarité interafricaine et empêche la construction du Maghreb".
L'"officine séparatiste" que représente le polisario, dérive aujourd'hui en "se rapprochant des narcotrafiquants, de la criminalité et des mouvements terroristes", a-t-il noté, faisant état de liens "découverts, il y'a à peu près deux ans, entre certains membres du front séparatiste et AQMI" (Al Qaida au Maghreb Islamique).
Aujourd'hui encore, "on vient de découvrir qu'un certain nombre d'activistes du polisario ont été tués dans une opération qui se faisait sous le couvert de Daech", a ajouté le professeur Saint-Prot, expliquant que cette dérive est "tout à fait normale de la part d'une organisation qui n'a pas d'issue politique (...) et d'un mouvement dont l'existence n'a que trop duré".
Abordant le thème du séminaire sur la contribution des musulmans d'Afrique à la lutte contre le terrorisme de Daech, organisé à l'occasion du lancement de l'IAGéo, le directeur de l'observatoire d'études géopolitique de Paris a souligné la nécessité de combattre l'extrémisme religieux en prônant l'enseignement de l'Islam du juste milieu, saluant à cet effet les efforts du Maroc dans ce domaine.