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Ce dimanche 3 mai à Paris, Reporters sans frontière a organisé un événement de mobilisation pour la Journée mondiale de la liberté de la presse. Au programme, un concert où des artistes comme Jeanne Cherhal, Arthur H, ou encore Sly Johnson ont répondu présent.
A Paris, ce dimanche 3 mai, la liberté de la presse a donné de la voix pour rappeler encore et encore que dans certains pays, un seul coup de crayon peut valoir une condamnation à un journaliste. Dans d’autres, écrire librement de sa plume est chose impossible.
Aujourd’hui, pendant que les journalistes dans le monde entier cherchent à voler de leurs ailes comme des oiseaux enchaînés, à Paris, c’est par la voix qu’on a choisi de se faire entendre. Outre la musique, plusieurs personnalités ont été invitées à l’évènement. Le prix Nobel de la paix Shirin Ebadi, leader du mouvement de Tiananmen à Pékin en 1989 Wu’er Kaixi ou encore certains membres de l’équipe de Charlie Hebdo qui se sont retrouvés, 4 mois plus tard, place de la République. Un lieu désormais incontournable qui rappelle les valeurs de ce pays parmi lesquelles «liberté» figure en tête de liste. Un lieu où des milliers de personnes se sont réunies quelques mois plus tôt pour soutenir la liberté de la presse sous le slogan «Je suis Charlie». C’est donc un événement avant tout symbolique pendant lequel, RSF a célébré, sur scène et à coup de micros, les 30 ans de ce combat toujours inachevé et menacé. Le duo de DJ Cassius et les humoristes Christophe Alévêque, Camille Chamoux et Daniel Morin ont aussi montré leur soutien sur scène, le tout animé par la présentatrice de télévision Daphné Bürki.
Pour Christophe Deloire, secrétaire journaliste de RSF, ce concert c’est aussi «le combat pour l’indépendance des médias face aux pouvoirs politiques, aux pressions économiques et aux intégrismes religieux est l’affaire de tous. Sinon, comment être informé des crimes et des abus commis à l’étranger?», s’interroge le journaliste.
Ces quelques heures de rires, de chants et de témoignages, ont été l’occasion de rendre hommage, en musique, à tous les journalistes du monde entier.
A Paris, ce dimanche 3 mai, la liberté de la presse a donné de la voix pour rappeler encore et encore que dans certains pays, un seul coup de crayon peut valoir une condamnation à un journaliste. Dans d’autres, écrire librement de sa plume est chose impossible.
Aujourd’hui, pendant que les journalistes dans le monde entier cherchent à voler de leurs ailes comme des oiseaux enchaînés, à Paris, c’est par la voix qu’on a choisi de se faire entendre. Outre la musique, plusieurs personnalités ont été invitées à l’évènement. Le prix Nobel de la paix Shirin Ebadi, leader du mouvement de Tiananmen à Pékin en 1989 Wu’er Kaixi ou encore certains membres de l’équipe de Charlie Hebdo qui se sont retrouvés, 4 mois plus tard, place de la République. Un lieu désormais incontournable qui rappelle les valeurs de ce pays parmi lesquelles «liberté» figure en tête de liste. Un lieu où des milliers de personnes se sont réunies quelques mois plus tôt pour soutenir la liberté de la presse sous le slogan «Je suis Charlie». C’est donc un événement avant tout symbolique pendant lequel, RSF a célébré, sur scène et à coup de micros, les 30 ans de ce combat toujours inachevé et menacé. Le duo de DJ Cassius et les humoristes Christophe Alévêque, Camille Chamoux et Daniel Morin ont aussi montré leur soutien sur scène, le tout animé par la présentatrice de télévision Daphné Bürki.
Pour Christophe Deloire, secrétaire journaliste de RSF, ce concert c’est aussi «le combat pour l’indépendance des médias face aux pouvoirs politiques, aux pressions économiques et aux intégrismes religieux est l’affaire de tous. Sinon, comment être informé des crimes et des abus commis à l’étranger?», s’interroge le journaliste.
Ces quelques heures de rires, de chants et de témoignages, ont été l’occasion de rendre hommage, en musique, à tous les journalistes du monde entier.
