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Le journaliste et cinéaste Fouad Souiba a présenté, mercredi dernier, à Rabat, son nouveau roman “Les séquestrés” qui aborde la manipulation médiatique de l’actualité arabe, notamment les grands événements survenus dans le cadre du “Printemps arabe”.
Présenté à la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc (BNRM), ce roman publié par les éditions “Smein” se manifeste comme “un cri” contre la manipulation médiatique des grands évènements qui ont secoué plusieurs pays arabes, exercée par certains médias “d’obédience idéologique très manifeste”, selon l’auteur. Paru en format moyen et en près de 330 pages, cet ouvrage explique, selon Souiba, les causes qui ont contribué à la naissance de ce qu’on appelle “le Printemps arabe” et à la descente dans la rue de plusieurs millions de citoyens arabes pour crier leur désarroi et revendiquer la chute des régimes de leurs pays.
“J’ai essayé à travers ce roman d’analyser autrement les causes de la révolution des peuples arabes qui a secoué plusieurs régions, notamment la Libye, à travers l’utilisation de l’histoire fictive d’une famille marocaine résidant en Libye”, a déclaré Souiba lors de cette rencontre.
Par ailleurs, l’auteur estime que les consommateurs de certains médias, notamment audiovisuels, sont “administrés et guidés par l’image”. Le public est manipulé et “séquestré” par une presse qui s’adresse à des millions de gens de façon à “installer chez eux une vision à sens unique” autour de l’évolution du monde, tout en les privant du “droit d’avoir leurs propres points de vue et leurs propres positions”.
Le choix d’une famille marocaine, dont les personnages sont la clé de ce roman, a permis, selon des témoignages recueillis par la MAP auprès de l’assistance, d’orchestrer les faits et l’action dans la narration, en permettant d’une façon “intelligente et osée” de transmettre des points de vue et des idées “scientifiques” et concrètes, avec un style artistique et littéraire.
Présenté à la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc (BNRM), ce roman publié par les éditions “Smein” se manifeste comme “un cri” contre la manipulation médiatique des grands évènements qui ont secoué plusieurs pays arabes, exercée par certains médias “d’obédience idéologique très manifeste”, selon l’auteur. Paru en format moyen et en près de 330 pages, cet ouvrage explique, selon Souiba, les causes qui ont contribué à la naissance de ce qu’on appelle “le Printemps arabe” et à la descente dans la rue de plusieurs millions de citoyens arabes pour crier leur désarroi et revendiquer la chute des régimes de leurs pays.
“J’ai essayé à travers ce roman d’analyser autrement les causes de la révolution des peuples arabes qui a secoué plusieurs régions, notamment la Libye, à travers l’utilisation de l’histoire fictive d’une famille marocaine résidant en Libye”, a déclaré Souiba lors de cette rencontre.
Par ailleurs, l’auteur estime que les consommateurs de certains médias, notamment audiovisuels, sont “administrés et guidés par l’image”. Le public est manipulé et “séquestré” par une presse qui s’adresse à des millions de gens de façon à “installer chez eux une vision à sens unique” autour de l’évolution du monde, tout en les privant du “droit d’avoir leurs propres points de vue et leurs propres positions”.
Le choix d’une famille marocaine, dont les personnages sont la clé de ce roman, a permis, selon des témoignages recueillis par la MAP auprès de l’assistance, d’orchestrer les faits et l’action dans la narration, en permettant d’une façon “intelligente et osée” de transmettre des points de vue et des idées “scientifiques” et concrètes, avec un style artistique et littéraire.