Autres articles
-
Du swing, du blue note et du guembri à Tanger
-
Clap de fin des "Nuits du film saoudien"
-
Des conteurs marocains et britanniques revisitent l’histoire commune et les influences mutuelles entre les deux Royaumes
-
Arts plastiques. Quatre artistes marocains brillent à Stronarte
-
Exposition de bijoux au Théatre Italia
Les fêtes de fin d’année amazighe Byannou 2965 se poursuivent. Un objectif principal : préserver la culture et la langue amazighes. Dans ce cadre, l’Association Adrar pour le développement et l’environnement organise, le dimanche 18 janvier courant à Tahla, une soirée musicale et poétique.
Initiée sous le thème «L’art amazigh, une identité et une mémoire», cette soirée artistique entend de réhabiliter la culture et la langue amazighes.
Au programme, l’on peut citer notamment le célèbre groupe musical amazigh Saghru Band, avec ses jeunes musiciens du sud-est marocain qui sont parvenus à surmonter la disparition du fondateur du groupe Mbarek Oularbi, dit Nba. Il s’agit ainsi d’un hommage à cet artiste, mais aussi à tout ce jeune groupe pour pour sa contribution musicale (« Amoun style » ou musique amazighe alternative).
Le public local pourra apprécier le beau verbe du poète Mustapha Tamzirt, mais également les jolies chansons de Driss Ychou, inspirées des grands chanteurs du Moyen Atlas tels que Rouicha, Maghni et Boutmzought.
Et puisqu’on est bien chez les Ait Warayn, le programme ne pourrait pas ignorer Ahidous, et ce sera la troupe d’Izli n’Ait Warayn qui assurera, comme d’habitude, la prestation fort attendue par le grand public avec danses en costume traditionnel.
L’occasion sera ainsi propice pour lever le voile sur une pratique ancestrale qui puise dans le patrimoine culturel et civilisationnel, d’où le rôle important de la société civile pour la sauvegarde et la préservation.
Il y a lieu également de souligner la revendication de la société civile démocratique d’ériger le 13 janvier, journée de fête nationale et jour de congé.
Initiée sous le thème «L’art amazigh, une identité et une mémoire», cette soirée artistique entend de réhabiliter la culture et la langue amazighes.
Au programme, l’on peut citer notamment le célèbre groupe musical amazigh Saghru Band, avec ses jeunes musiciens du sud-est marocain qui sont parvenus à surmonter la disparition du fondateur du groupe Mbarek Oularbi, dit Nba. Il s’agit ainsi d’un hommage à cet artiste, mais aussi à tout ce jeune groupe pour pour sa contribution musicale (« Amoun style » ou musique amazighe alternative).
Le public local pourra apprécier le beau verbe du poète Mustapha Tamzirt, mais également les jolies chansons de Driss Ychou, inspirées des grands chanteurs du Moyen Atlas tels que Rouicha, Maghni et Boutmzought.
Et puisqu’on est bien chez les Ait Warayn, le programme ne pourrait pas ignorer Ahidous, et ce sera la troupe d’Izli n’Ait Warayn qui assurera, comme d’habitude, la prestation fort attendue par le grand public avec danses en costume traditionnel.
L’occasion sera ainsi propice pour lever le voile sur une pratique ancestrale qui puise dans le patrimoine culturel et civilisationnel, d’où le rôle important de la société civile pour la sauvegarde et la préservation.
Il y a lieu également de souligner la revendication de la société civile démocratique d’ériger le 13 janvier, journée de fête nationale et jour de congé.