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Contrairement aux allégations mensongères du Front Polisario et selon l’ambassade du Maroc à Lima, la dénommée Khadijetou alias Jadiyetu Mint El-Mokhtar, n’a, à aucun moment, reçu l’agrément des autorités péruviennes en qualité d’ »ambassadrice de la RASD » au Pérou.
A son arrivée à l’aéroport Jorge Chavez de Lima, la police péruvienne des frontières a découvert que la prétendue diplomate sahraouie était munie d’un passeport espagnol et non d’un document de voyage portant quelque cachet que ce soit de la fantoche république sahraouie «RASD», dont elle prétend être ambassadrice, quand bien même cette entité n’a jamais été reconnue en tant qu’Etat souverain par l’Organisation des Nations unies.
La dénommée Khadijetou a été interpellée samedi 9 septembre à l’aéroport Jorge Chavez, par la police péruvienne qui lui a interdit l’entrée au Pérou.
Les autorités péruviennes reprochent à la non moins soi-disant « ambassadrice» de la «RASD», d’être venue à Lima, pour « se livrer à des activités politiques contraires aux lois de l’immigration en vigueur au Pérou ». Elle est également accusée d’ »usurpation du statut de représentante diplomatique » et d' »ingérence dans les affaires intérieures » du Pérou.
Retenue à l’aéroport de la capitale péruvienne pendant les quatre jours qui ont suivi son interpellation par la police, Khadijetou Mint El-Mokhtar devait attendre le verdict de la justice péruvienne auprès de laquelle une plainte a été déposée par l’avocat péruvien Dante Díaz Wong, mandaté et payé par l’ambassade algérienne à Lima (bien évidemment), pour contester la décision prise à son encontre par « l’instance nationale péruvienne chargée de l’immigration ». Si la fausse ambassadrice du Polisario n’est pas poursuivie et condamnée par la justice locale, elle devrait être automatiquement refoulée vers son lieu de provenance, l’Espagne, dont elle détient la nationalité.