-
Les prédateurs représentent une alternative efficace aux pesticides
-
Jeûne des enfants. S'imprégner de l'esprit du Ramadan
-
Le fossé numérique est l'un "des plus grands défis de notre génération", selon l'ONU
-
Au cimetière de La Havane, des histoires d'amour figées dans le marbre
-
Chasser l'hiver, un rituel sacré pour la jeunesse slovène
Toutefois, l'Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA) a indiqué mardi que si on prend en compte la période de janvier à septembre 2016, le thermomètre est resté à un niveau record pour ces 137 dernières années.
La température en septembre à la surface des terres et des océans a été 0,88 degré Celsius au-dessus de la moyenne du XXe siècle, qui était de 15°C.
Septembre se classe ainsi à la deuxième place pour ce mois, très près du record de l'année passée: septembre 2015 avait été 0,38°C plus chaud.
Cette montée du mercure avait correspondu à une intensification du courant équatorial chaud du Pacifique El Nino, qui a commencé à se dissiper à la fin du printemps.
Pour les neuf premiers mois de 2016, la température à la surface des océans et des terres s'est située 0,98°C au-dessus de la moyenne du XXe siècle (qui était de 13,88°C), surpassant le précédent record de la même période en 2015 de 0,12°C, a précisé la NOAA dans son bulletin mensuel des températures sur le globe.
L'année 2016 est ainsi en passe de battre un nouveau record annuel de chaleur. Ce serait le troisième d'affilée.