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Les chiffres du ministre sonnent faux
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Focus sur les efforts du Maroc dans la lutte contre le trafic de psychotropes
Selon El Español, un portail espagnol fondé par l’ex-directeur d’El Mundo, Pedro Ramirez, l’Unité des affaires internes au sein de la police espagnole s’est chargée de l’enquête sur cette affaire depuis des mois après avoir reçu via un courrier électronique une plainte déposée par une association marocaine des droits de l’Homme au Nord du Royaume.
D’après la même source, le mis en cause facilitait aux migrants irréguliers de passer du Maroc au préside occupé moyennant des sommes d’argent. El Español a également fait part des antécédents de ce policier dans ce domaine. Ce portail a révélé qu’il a été impliqué dans un réseau de trafic de migrants syriens démantelé il y a deux ans au Maroc. Après ce démantèlement, le policier a été mûté à Madrid alors que quatre autres policiers ont été retirés des postes frontaliers.
La même source a ajouté que le parquet de Nador a ordonné en 2015 à la police judiciaire de diligenter une enquête sur l’implication de cinq agents marocains exerçant à Beni Ansar. Ils ont été soupçonnés d’établir des relations avec la mafia de trafic des migrants irréguliers vers le préside occupé. Selon ledit portail, la police marocaine avait connaissance de l’implication des agents espagnols dans cette affaire, mais elle ne l’a pas mentionné dans son rapport pour «sauvegarder et protéger les bonnes relations» entre les deux pays.