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Selon le ministère tunisien de la Défense, ces immigrants clandestins sont originaires de la Tunisie, du Maroc, de l'Egypte, du Soudan, du Niger et du Bangladesh.
Ces migrants avaient quitté le port de Boukamech, en Libye, pour regagner les côtes libyennes, précise-t-on de même source.
La même source ajoute que ces clandestins ont été remis aux gardes nationaux tunisiens pour l’ouverture de procédures juridiques à leur encontre.
Selon un rapport réalisé par l'Observatoire maghrébin des migrations relevant du Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES), 1652 personnes, dont 1384 Tunisiens, ont été arrêtées pour migration non règlementaire au cours des 8 premiers mois de 2017.
Pour le mois de septembre, 1.400 migrants irréguliers ont atteint, d'après l'Organisation internationale des migrations (OIM) en Méditerranée, les côtes italiennes enregistrant ainsi une augmentation remarquable du nombre des migrants irréguliers arrivés en Italie depuis près de 3 ans.
L'ONU avait fait état de la mort de plus de 5.000 migrants clandestins l'an dernier, en tentant de traverser la Méditerranée pour gagner l'Europe, pour la plupart depuis la Libye.