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Le Salon maghrébin du livre "Lettres du Maghreb", dont le coup d'envoi a été donné jeudi, se veut une véritable vitrine pour la littérature marocaine et maghrébine, avec l’ambition de renforcer son rayonnement à l’international, a affirmé le commissaire du salon, Mustapha Kebir Ammi. «Le salon qui œuvre dans un premier temps à se faire une place au niveau de la région, offre une vitrine pour la littérature marocaine et maghrébine en général, dans la perspective de renforcer éventuellement son rayonnement à l’international », a-t-il souligné dans un entretien à la MAP, à la veille de l’ouverture de cet événement culturel, initié sous le thème '"Dire la jeunesse, écrire l’espoir". L’idée d’un Salon maghrébin du livre s’impose aujourd’hui en ce sens qu’il constituera un espace de rencontre entre les créateurs maghrébins et le grand public mais aussi de débat autour des récentes publications et des sujets d’actualité, a expliqué cet écrivain algéro-marocain, soulignant que la littérature du Maghreb s’est enrichie dans toutes les langues notamment l’arabe, le français , l’amazigh et dernièrement le néerlandais et l’espagnol. «Le Maghreb culturel est quelque part une réalité parce qu’il y a des écrivains talentueux en Algérie, en Tunisie, en Mauritanie, en Libye et au Maroc, sauf qu’ils ne disposent pas d’espace pour se croiser et donner une vrai forme à ce Maghreb des lettres», a-t-il fait savoir.
Interrogé si le Salon d’Oujda s’érigera en assise de ce Maghreb de la culture, Kebir Ammi a souligné que «Lettres du Maghreb» sera «effectivement l’opportunité de donner corps à ce Maghreb culturel». «La ville d’Oujda sera en quelque sorte la capitale mais aussi la patrie de ces écrivains maghrébins», a-t-il précisé.
Il s’agit de la première fois que les écrivains maghrébins auront l’occasion de se rencontrer dans le cadre d’un véritable salon qui leur est dédié spécialement, avec plus de 200 invités et une quarantaine de tables rondes, s’est-il réjoui, ajoutant que le pari reste «ambitieux» mais «justifié».
Interrogé si le Salon d’Oujda s’érigera en assise de ce Maghreb de la culture, Kebir Ammi a souligné que «Lettres du Maghreb» sera «effectivement l’opportunité de donner corps à ce Maghreb culturel». «La ville d’Oujda sera en quelque sorte la capitale mais aussi la patrie de ces écrivains maghrébins», a-t-il précisé.
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