Autres articles
-
Présentation de l’ouvrage “Les nationalistes marocains au XXe siècle : articulation organique entre le politique et le social”
-
La première salle de cinéma à Azilal ouvre ses portes
-
Une 19ème édition sous le signe du soufisme
-
Présentation à Paris de la 16ème édition du Festival de Fès de la culture soufie
-
“Latif Lahlou: 60 ans de cinéma”, nouvel ouvrage de l’Association Marocaine des Critiques de Cinéma
Saïd Bey est actuellement en tournage à Erfoud, où il participe à la troisième saison de la série française "Le bureau des légendes", réalisé par Eric Rochant et produite par Canal+. L’acteur marocain a récemment publié, sur son compte Facebook, des photos de lui aux côtés notamment de l’acteur et producteur français multi-césarisé, Mathieu Kassovitz qui figure également dans le casting de la série. «Une nouvelle aventure, une belle rencontre», a écrit Saïd Bey en commentaires desdits photos.
Des Patriotes (1994) à Möbius (2013), le réalisateur français Eric Rochant a toujours su démontrer sa fascination pour les espions. Aujourd’hui et après avoir travaillé sur les saisons 2 et 3 de «Mafiosa», ainsi que sur les deux premières saisons du «Bureau des légendes», le réalisateur et scénariste repart en mission secrète en signant la troisième saison aussi.
Dans cette série, il s’agit d’un décryptage du système des fausses identités dans les services secrets. « Le Bureau des légendes est, en effet, ce département de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) où sont inventées les légendes, c’est-à-dire les vies supposées des agents implantés à l’étranger. La série relate l’histoire de Malotru, campé avec brio par Mathieu Kassovitz, qui revient de six années à Damas. Là-bas, il était Paul Lefebvre, un professeur de français: c’était sa «légende», sa couverture sous laquelle il opérait au service de la DGSE. Mais à son retour à Paris, au «Bureau des légendes» depuis lequel sont formés et pilotés à distance les agents, Malotru décide de ne pas abandonner son identité fictive, au risque de mettre la vie des autres clandestins en danger.
Il est à rappeler également que la réalisatrice marocaine, Laïla Marrakchi, auteur de «Marock» et «Rock The Casbah», avait collaboré avec Eric Rochant dans la préparation deux épisodes de cette série française. «Eric Rochant, le showrunner, m’a confié deux épisodes, avec des scènes d’action tournées au Maroc. J’ai adoré m’occuper de ces épisodes dramatiques, avec beaucoup de rebondissements et d’enjeux d’écriture», avait-t-elle souligné.
M.O
Des Patriotes (1994) à Möbius (2013), le réalisateur français Eric Rochant a toujours su démontrer sa fascination pour les espions. Aujourd’hui et après avoir travaillé sur les saisons 2 et 3 de «Mafiosa», ainsi que sur les deux premières saisons du «Bureau des légendes», le réalisateur et scénariste repart en mission secrète en signant la troisième saison aussi.
Dans cette série, il s’agit d’un décryptage du système des fausses identités dans les services secrets. « Le Bureau des légendes est, en effet, ce département de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) où sont inventées les légendes, c’est-à-dire les vies supposées des agents implantés à l’étranger. La série relate l’histoire de Malotru, campé avec brio par Mathieu Kassovitz, qui revient de six années à Damas. Là-bas, il était Paul Lefebvre, un professeur de français: c’était sa «légende», sa couverture sous laquelle il opérait au service de la DGSE. Mais à son retour à Paris, au «Bureau des légendes» depuis lequel sont formés et pilotés à distance les agents, Malotru décide de ne pas abandonner son identité fictive, au risque de mettre la vie des autres clandestins en danger.
Il est à rappeler également que la réalisatrice marocaine, Laïla Marrakchi, auteur de «Marock» et «Rock The Casbah», avait collaboré avec Eric Rochant dans la préparation deux épisodes de cette série française. «Eric Rochant, le showrunner, m’a confié deux épisodes, avec des scènes d’action tournées au Maroc. J’ai adoré m’occuper de ces épisodes dramatiques, avec beaucoup de rebondissements et d’enjeux d’écriture», avait-t-elle souligné.
M.O