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Le site d’information revient notamment sur la dégradation de l’état de santé d’Abdelaziz Bouteflika depuis son voyage en France, le 26 novembre 2005. «Bouteflika souffrait d'un ulcère gastrique et a été admis à l'hôpital Val de Grâce à Paris. Son admission pour trois semaines a alimenté la rumeur selon laquelle il souffrait d'un cancer de l'estomac», indique la même source. Et d’ajouter qu’en avril 2006, il s’est rendu à nouveau à l'hôpital militaire parisien pour des examens médicaux.
« El Confidencial Sahraoui » rappelle ensuite que le 16 décembre 2014, l’état de santé de Bouteflika s’est aggravée. «Un avion médicalisé l’a transporté à l'hôpital militaire parisien du Val de Grâce».
Depuis 2015, souligne la même source, «la santé de Bouteflika est devenue un secret d'Etat et ses examens médicaux des pièces confidentielles. En 2016, après avoir passé deux ans sans se montrer en public, certaines sources révélaient qu'il pouvait à peine parler et souffrait d’une diminution de sa capacité cognitive. Des complications ultérieures à son accident vasculaire cérébral». « El Confidencial Sahraoui » rappelle ensuite qu’en février 2017, le président algérien était de nouveau souffrant. «Une bronchite aiguë l'a forcé à annuler sa rencontre avec la chancelière allemande Angela Merkel le 12 mars. Le président iranien Hassan Rohani a également annulé sa visite officielle à Alger. Au cours de la première moitié de 2017, Bouteflika s’est rendu à Genève, Berlin et Paris pour des contrôles médicaux de routine».
Ce site d’information en langue espagnole affirme que depuis, Bouteflika vit 24 heures sur 24 dans sa résidence à l'ouest d’Alger, au palais présidentiel de Zeralda. «Il est régulièrement assisté par une équipe de neurologues et de cardiologues, conduite par le cardiologue français Jacques Monségu et le docteur Messaoud Zitouni».
Après trois ans de black-out médiatique sur l’état de santé du président, rumeurs et spéculations se sont multipliées. Ce qui a poussé Bouteflika à publier une photo avec Emanuel Macron alors candidat à la présidentielle française et une vidéo avec Abdelkader Messahel. Des images qui ne font que confirmer «l'état de santé déplorable du président algérien». Et « El Confidencial Sahraoui » de regretter que le président algérien «n’ait pas encore réussi à désigner un successeur pour diriger l'Algérie».