Pierce Brosnan reprend ses armes pour “The November Man”


AFP
Lundi 1 Septembre 2014

Pierce Brosnan reprend ses armes pour “The November Man”
L'ex-James Bond Pierce Brosnan reprend  les armes pour "The November Man", où il incarne un espion qui se retourne  contre son ex-employeur, la CIA, puis traqué par un jeune agent qu'il a  lui-même formé. 
L'acteur irlandais, qui n'a jamais caché qu'il aurait voulu jouer 007 un  peu plus longtemps, estime qu'il n'en avait pas fini avec les films d'action. 
Le film, tourné à Belgrade, et sortit mercredi aux États-Unis, joue sur les classiques du genre avec poursuites, traîtres et belle à secourir (la Française  d'origine ukrainienne, et ex-James Bond Girl, Olga Kurylenko).
"The November Man", coproduit par Pierce Brosnan et adapté de la série de  romans éponymes de Bill Granger, raconte les aventures de Peter Devereaux, un  ex-limier de la CIA.  L'agence américaine vient le tirer de sa retraite pour une  dernière mission: exfiltrer une espionne de Moscou, grand amour de Devereaux et  mère de sa fille, qui possède les preuves de crimes sexuels commis par un  candidat à la présidentielle.
L'ex-subalterne de Devereaux, David Mason (Luke Bracey) est chargé  parallèlement par la CIA de tuer l'espionne, et Devereaux, noyé dans son  chagrin, veut se venger. 
Devenu une menace pour la CIA, Mason a pour mission de tuer cet ex-mentor  qu'il admire encore. 
Reprendre la casquette d'espion douze ans après demande "beaucoup de  travail mais plus autant d'efforts (de crédibilité)", ironise l'acteur de 61  ans lors d'une interview avec quelques journalistes. 
L'acteur à la haute stature, au regard bleu profond et au sourire de star,  a dû s'entraîner dur pour renouer avec les films d'action: "Tennis, gym,  tennis, gym… On n'a rien sans rien.  Parce que j'aime la bière, le vin, le  pain, le beurre…", énumère-t-il en riant. "J'ai eu tellement d'entraîneurs… Je n'en peux plus!", ironise-t-il,  racontant qu'à son tour, il se venge des tourments infligés "en entraînant son  entraîneur" à boire de la Guinness dans les bars. Conscient qu'il ne pourra pas jouer les limiers pour toujours, il poursuit en  riant: "S'il y a une suite" au film, comme c'est déjà envisagé, "c'est lui qui  ira au front, moi je m'occuperai seulement des femmes!". 
 Les critiques américaines sont pour l'instant mitigées, dénonçant  incohérences de scénario et un adversaire trop falot: le site TheWrap compare  le duel Devereaux/Mason à "l'affrontement entre Captain America et un sandwich  au thon". 
 
 


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