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Après son premier roman «La conspiration des ombres, le Général marocain n°1», Amine Jamai vient de publier son second roman intitulé «Le Général marocain Arabmageddon» (Casa-Express éditions, Rabat-Paris).
Ce roman relate l’histoire d’un général marocain, Khalil, qui est nommé à la tête du MMCT, l’organisation de l’ONU spécialisée dans la lutte contre les meurtres de masse qui n’ont pas encore eu lieu, c’est-à-dire que sa mission est purement préventive. «La Cour internationale jugeait des faits passés, et condamnait les actions de criminels avérés. Khalil et son équipe devaient agir avant que les crimes de masse n’aient lieu, sur le terrain, à travers des opérations de renseignement, d’infiltration ou dans les cas extrêmes, en engageant des équipes au combat», lit-on dans le roman d’Amine Jamai. Le choix d’un général marocain pour diriger cette équipe n’était pas fortuit, car «la majorité des crimes contre l’humanité étaient concentrés ces derniers temps sur l’axe Afrique-Moyen-Orient. Le choix porté sur le général marocain semblait évident». Sa mission et celle de son équipe était, donc, de déjouer la tempête qui allait s’abattre notamment sur le monde arabo-musulman. Pour ce faire, une course contre la montre les conduira d’Alep à Hambourg, en passant par Sangatte, Genève et Marrakech.
Pour rappel, Amine Jamai, après des études et un parcours professionnel dans plusieurs pays, dirige un cabinet de conseil en stratégie à Casablanca.
Ce roman relate l’histoire d’un général marocain, Khalil, qui est nommé à la tête du MMCT, l’organisation de l’ONU spécialisée dans la lutte contre les meurtres de masse qui n’ont pas encore eu lieu, c’est-à-dire que sa mission est purement préventive. «La Cour internationale jugeait des faits passés, et condamnait les actions de criminels avérés. Khalil et son équipe devaient agir avant que les crimes de masse n’aient lieu, sur le terrain, à travers des opérations de renseignement, d’infiltration ou dans les cas extrêmes, en engageant des équipes au combat», lit-on dans le roman d’Amine Jamai. Le choix d’un général marocain pour diriger cette équipe n’était pas fortuit, car «la majorité des crimes contre l’humanité étaient concentrés ces derniers temps sur l’axe Afrique-Moyen-Orient. Le choix porté sur le général marocain semblait évident». Sa mission et celle de son équipe était, donc, de déjouer la tempête qui allait s’abattre notamment sur le monde arabo-musulman. Pour ce faire, une course contre la montre les conduira d’Alep à Hambourg, en passant par Sangatte, Genève et Marrakech.
Pour rappel, Amine Jamai, après des études et un parcours professionnel dans plusieurs pays, dirige un cabinet de conseil en stratégie à Casablanca.