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La ville de Khouribga abritera, du 6 au 9 décembre prochain, la 9ème édition de son Festival international du film documentaire avec à l’affiche la projection d’une quinzaine de documentaires arabes et internationaux. Cet événement à portée éducative, culturelle et sociale, vise un triple objectif: faire réfléchir les spectateurs sur de grands thèmes de société, partager les techniques et les savoir-faire grâce à des ateliers de formation, et contribuer au développement de la ville de Khouribga, indique l’Association Afifdok qui organise cette manifestation artistique et culturelle, en partenariat avec plusieurs partenaires institutionnels et privés. Les documentaires en lice vont concourir pour le Grand Prix du festival. L’an passé, le sacre est revenu à «Tout est écrit» de la Franco-tunisienne Sonia Ben Salama. Parallèlement aux projections, le principal colloque au programme cette année portera sur le thème: la photo à l’école, éléments de diagnostic et perspectives, avec l’ambition de débattre de la place de la photo, dans toute sa diversité et les domaines d’utilisation, au sein du système éducatif marocain et ailleurs, avec la participation attendue d’universitaires et experts nationaux et étrangers. Désireux de contribuer à promouvoir l'esprit d'initiative, la citoyenneté, et les valeurs culturelles, l’Association Afifdok rappelle son souci de pérenniser le Festival du film documentaire, en tant qu’événement culturel international à la fois scientifique et de développement.
«Le film documentaire met en avant l'importance du rôle de l'image et du son dans le maintien de notre mémoire nationale, arabe, et de la mémoire de l’humanité. C’est aussi un moyen de dialogue et de communication entre nous et avec le monde», selon cette association qui souligne aussi l’importance d’employer ce mode de création pour encourager des échanges bénéfiques entre les jeunes de façon scientifique, éducative, culturelle et humaine.
«Le film documentaire met en avant l'importance du rôle de l'image et du son dans le maintien de notre mémoire nationale, arabe, et de la mémoire de l’humanité. C’est aussi un moyen de dialogue et de communication entre nous et avec le monde», selon cette association qui souligne aussi l’importance d’employer ce mode de création pour encourager des échanges bénéfiques entre les jeunes de façon scientifique, éducative, culturelle et humaine.