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Un ouvrage consacré à l'expérience du réalisateur marocain Daoud Aoulad Sayed vient d’être publié par l'Association marocaine des critiques de cinéma (AMCC). L'ouvrage s'inscrit dans le cadre d'une série de livres édités par l'association en hommage aux expériences des réalisateurs marocains les plus célèbres, lors de rencontres organisées sous le signe ''Cinéastes et critiques''. L'ouvrage, qui comporte des études critiques en arabe et en français, vient s'ajouter à d'autres livres similaires qui ont rendu hommage, auparavant, aux expériences de réalisateurs marocains au talent confirmé tels Abdelkader Lagtaâ, Farida Belyazid, Jilali Ferhati, Hakim Belabbes, Faouzi Bensaid et Nabil Ayouch.
Dans la partie en arabe, l'ouvrage présente les contributions d'intellectuels marocains intitulées ''Lecture du film +En attendant Pasolini+'', du critique de cinéma et écrivain Nouredine Mohakik, ''Le traitement réservé par le réalisateur Daoud Aoulad Sayed au cinéma et à la télévision'', du critique de cinéma Omar Belkhamar, ''L'encadrement de l'oeuvre d'art de Daoud Aoulad Sayed'', du professeur-chercheur en photographie Jaâfar Akil, ''Le film +Bye bye souirti+ (Adieu forain), réalisé selon la méthode de Daoud Aoulad Sayed ou celle du réalisateur italien Federico Fellini'', de Mohamed Badrana, ''Le cinéma et ses perspectives'', de Moubarak Housni et ''La dimension documentaire dans le cinéma de Daoud Aoulad Sayed'' du critique Adil Semmar.
La partie française est étayée, quant à elle, de textes d'intellectuels marocains et français intitulés ''Plans fixes/images mobiles'' de l'écrivain, poète et enseignant-chercheur Abdelghani Fennane, ''Territoires d'une enfance figée'' du Français Roland Carrée en études cinématographiques, ''Eléments esthétiques dans la filmographie de Daoud Oulad Sayed'' de l'enseignant chercheur en philosophie moderne Abdelali Maazouz et ''Espace, personnages dans le film +Adieu forain+ de Daoud Aoulad Sayed'' de l'enseignant Abdelkhalek Sabah. Dans l'introduction de l'ouvrage, le critique de cinéma marocain Mohamed Chouika rend hommage à l'oeuvre du réalisateur et à l'artiste photographe Daoud Aoulad Sayed. Cela constitue un document visuel intégré sur l'histoire photographique du Maroc, mettant l'accent sur l'intérêt porté par le réalisateur marocain au Sud en tant qu'espace, aux questions sur la marginalité et à la simplicité de la vie des Marocains.
Mohamed Chouika explique que Daoud Aoulad Sayed porte la double casquette de photographe et de réalisateur, mettant en valeur sa vision particulière du Maroc et de ses habitants. Il fait observer qu'il a recours au cinéma et à la photographie pour cerner le dynamisme du Maroc, tout en mettant l'accent sur les exigences de lecture de l'image par rapport à l'individu et à la société dans la culture marocaine.
Dans la partie en arabe, l'ouvrage présente les contributions d'intellectuels marocains intitulées ''Lecture du film +En attendant Pasolini+'', du critique de cinéma et écrivain Nouredine Mohakik, ''Le traitement réservé par le réalisateur Daoud Aoulad Sayed au cinéma et à la télévision'', du critique de cinéma Omar Belkhamar, ''L'encadrement de l'oeuvre d'art de Daoud Aoulad Sayed'', du professeur-chercheur en photographie Jaâfar Akil, ''Le film +Bye bye souirti+ (Adieu forain), réalisé selon la méthode de Daoud Aoulad Sayed ou celle du réalisateur italien Federico Fellini'', de Mohamed Badrana, ''Le cinéma et ses perspectives'', de Moubarak Housni et ''La dimension documentaire dans le cinéma de Daoud Aoulad Sayed'' du critique Adil Semmar.
La partie française est étayée, quant à elle, de textes d'intellectuels marocains et français intitulés ''Plans fixes/images mobiles'' de l'écrivain, poète et enseignant-chercheur Abdelghani Fennane, ''Territoires d'une enfance figée'' du Français Roland Carrée en études cinématographiques, ''Eléments esthétiques dans la filmographie de Daoud Oulad Sayed'' de l'enseignant chercheur en philosophie moderne Abdelali Maazouz et ''Espace, personnages dans le film +Adieu forain+ de Daoud Aoulad Sayed'' de l'enseignant Abdelkhalek Sabah. Dans l'introduction de l'ouvrage, le critique de cinéma marocain Mohamed Chouika rend hommage à l'oeuvre du réalisateur et à l'artiste photographe Daoud Aoulad Sayed. Cela constitue un document visuel intégré sur l'histoire photographique du Maroc, mettant l'accent sur l'intérêt porté par le réalisateur marocain au Sud en tant qu'espace, aux questions sur la marginalité et à la simplicité de la vie des Marocains.
Mohamed Chouika explique que Daoud Aoulad Sayed porte la double casquette de photographe et de réalisateur, mettant en valeur sa vision particulière du Maroc et de ses habitants. Il fait observer qu'il a recours au cinéma et à la photographie pour cerner le dynamisme du Maroc, tout en mettant l'accent sur les exigences de lecture de l'image par rapport à l'individu et à la société dans la culture marocaine.