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Abdeljlil Lahjomri vient de signer son nouvel essai "Mes autres chroniques inutiles", paru aux éditions "La Croisée des Chemins". Cet ouvrage inédit (225 pages) se révèle, après lecture, plein de perles de sagesse. Sous le chapitre "Paroles nomades", l'auteur traite différents sujets, de la représentation de l'Islam en Occident jusqu'à la problématique de l'éducation et de la diversité des langues, en passant par le dialogue des cultures et des religions dans l'espace méditerranéen et par la quête d'un capitalisme à visage humain.
Dans le second chapitre, intitulé "Lectures imprévues", Abdeljlil Lahjomri propose une lecture critique, concise et synthétique de plusieurs récits qui l'ont marqué, notamment "Le dernier combat du capitaine Ni'mat" de Mohamed Leftah, "Le retour du Muezzin" d’Abdellah Bensmain, "Amour d'outre tombe" du peintre-poète Aissa Ikken, "Le Maroc moderne" de Jules Erckmann, "Mariage mixte" d'Ahmed Hijaoui, "Rouge Henné" de Bouchra Boulouiz, et "Années volées" d’Anissa Bellefquih.
Dans son troisième et dernier chapitre "Toiles entre-aperçues", l'essayiste souligne que le but de tout artiste, créateur, peintre, sculpteur musicien, conteur est de "nous faire aimer l'art pour nous faire aimer notre monde", citant pour exemples les travaux des artistes-peintres Amine Demnati, Mohamed Bennani et son fils Karim, Serge Mendjisky, Abdellah Dibaji et Bouchta El Hayani.
Considérant que l'ennui est l'ennemi de toute lecture, Abdeljlil Lahjomri opte dans ces chroniques pour des récits courts, justes et convaincants, tout en se référant à plusieurs écrivains, penseurs, poètes, historiens et peintres. Auteur des livres "Pleure Aïcha, tes chroniques égarées" et "Mes chroniques inutiles", Abdeljalil Lahjomri, né en 1943 à Rabat, est docteur ès lettres (Paris-Nanterre). Doyen de la Faculté des sciences de l'éducation pendant plusieurs années, il est actuellement directeur du Collège Royal. Il est notamment le fondateur de l'Association Maroc-Cultures.
Dans le second chapitre, intitulé "Lectures imprévues", Abdeljlil Lahjomri propose une lecture critique, concise et synthétique de plusieurs récits qui l'ont marqué, notamment "Le dernier combat du capitaine Ni'mat" de Mohamed Leftah, "Le retour du Muezzin" d’Abdellah Bensmain, "Amour d'outre tombe" du peintre-poète Aissa Ikken, "Le Maroc moderne" de Jules Erckmann, "Mariage mixte" d'Ahmed Hijaoui, "Rouge Henné" de Bouchra Boulouiz, et "Années volées" d’Anissa Bellefquih.
Dans son troisième et dernier chapitre "Toiles entre-aperçues", l'essayiste souligne que le but de tout artiste, créateur, peintre, sculpteur musicien, conteur est de "nous faire aimer l'art pour nous faire aimer notre monde", citant pour exemples les travaux des artistes-peintres Amine Demnati, Mohamed Bennani et son fils Karim, Serge Mendjisky, Abdellah Dibaji et Bouchta El Hayani.
Considérant que l'ennui est l'ennemi de toute lecture, Abdeljlil Lahjomri opte dans ces chroniques pour des récits courts, justes et convaincants, tout en se référant à plusieurs écrivains, penseurs, poètes, historiens et peintres. Auteur des livres "Pleure Aïcha, tes chroniques égarées" et "Mes chroniques inutiles", Abdeljalil Lahjomri, né en 1943 à Rabat, est docteur ès lettres (Paris-Nanterre). Doyen de la Faculté des sciences de l'éducation pendant plusieurs années, il est actuellement directeur du Collège Royal. Il est notamment le fondateur de l'Association Maroc-Cultures.