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La galerie d’art du bastion de San Roque à Cadix, dans le sud de l’Espagne, accueille, jusqu’au 13 janvier prochain, une exposition photographique axée sur l’esthétique des médinas du Maroc et la vie de leurs habitants. Intitulée «Maroc, ombres et lumières», l’exposition signée par Juan Maria Rodriguez consiste en une série de 61 photographies prises dans plusieurs villes du Maroc, telles que Tanger, Zagora, Larache, Rissani, Chefchaouen et Tiznit, dans une quête du pittoresque, des couleurs et des contrastes en lumières et ombres.
Les clichés de ce journaliste et photographe originaire d’Almeria ne sont ni narratifs, ni documentaires ni répondant à des critères anthropologiques. Ils n’ont d’autres buts que le «pur plaisir de l’image», à commencer par la couleur et la plasticité à la fois souple et forte des médinas du Maroc, a expliqué l’artiste cité par le journal local «Diario de Cadiz». Cette exposition n’a pas de fil conducteur et n’est pas un travail uniforme. «Je ne travaille pas avec des idées préconçues, mais chacun a ses propres affinités et façons de regarder les images», a-t-il poursuivi.
L’exposition, organisée par la Société Cadiz 2012 qui gère la galerie d’art du bastion de San Roque, va à la recherche de «cet exotisme du quotidien» qui, au Maroc, est synonyme «d’apothéose lumineuse», a ajouté le photographe. Selon les organisateurs, le Maroc que montre Rodriguez est ce pays qui conserve toujours une aura mystérieuse et envoûteuse, avec des gens qui marchent dans les ruelles de la médina et imprègnent d’humanisme la plupart de ses photographies. Spécialisé dans l’information culturelle, Juan Maria Rodriguez a travaillé notamment avec les journaux La Voz de Almeria, El Pais et El Mundo ainsi qu’avec la radio nationale espagnole et la chaîne de télévision Canal Sur. Il a à son actif plusieurs expositions photographiques en Andalousie.
Les clichés de ce journaliste et photographe originaire d’Almeria ne sont ni narratifs, ni documentaires ni répondant à des critères anthropologiques. Ils n’ont d’autres buts que le «pur plaisir de l’image», à commencer par la couleur et la plasticité à la fois souple et forte des médinas du Maroc, a expliqué l’artiste cité par le journal local «Diario de Cadiz». Cette exposition n’a pas de fil conducteur et n’est pas un travail uniforme. «Je ne travaille pas avec des idées préconçues, mais chacun a ses propres affinités et façons de regarder les images», a-t-il poursuivi.
L’exposition, organisée par la Société Cadiz 2012 qui gère la galerie d’art du bastion de San Roque, va à la recherche de «cet exotisme du quotidien» qui, au Maroc, est synonyme «d’apothéose lumineuse», a ajouté le photographe. Selon les organisateurs, le Maroc que montre Rodriguez est ce pays qui conserve toujours une aura mystérieuse et envoûteuse, avec des gens qui marchent dans les ruelles de la médina et imprègnent d’humanisme la plupart de ses photographies. Spécialisé dans l’information culturelle, Juan Maria Rodriguez a travaillé notamment avec les journaux La Voz de Almeria, El Pais et El Mundo ainsi qu’avec la radio nationale espagnole et la chaîne de télévision Canal Sur. Il a à son actif plusieurs expositions photographiques en Andalousie.