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Cette famille dont le chef est pourchassé par le Polisario pour avoir demandé le statut de réfugié que lui confèrent toutes les conventions internationales et qui vit, rappelons-le, avec les sept membres de sa famille dans une voiture.
Le dernier des enfants de Bouchraya qui est épileptique et ne pouvant supporter de vivre dans la voiture connaît une aggravation de son état. Le cas inquiétant de cette famille a fait le buzz, ces derniers jours, envahissant les réseaux sociaux devenus le seul moyen des habitants des camps de Tindouf pour dénoncer les agissements des dirigeants du Polisario et les violations des droits humains qu’ils ne cessent de perpétrer.
Il faut dire que devant la situation du garçon et de sa famille, la mission de l’ONU confrontée à des menaces de la part d’éléments du Polisario, n’a rien pu faire pour alléger leurs souffrances. Ces menaces ont amené la mission à demander l’assistance de l’ONU qui a décidé l’envoi de certaines équipes sécuritaires spéciales. Ces équipes devraient se déployer dans le no man’s land au sud et à l’est du Mur marocain de protection pour assurer une protection rapprochée des membres de la mission qui ont reçu plusieurs menaces de la part des miliciens du Polisario et de leurs sympathisants dans les provinces marocaines du Sud. Ces derniers ont appelé à constituer des commandos entraînés pour intercepter les navires de pêche européens qui reviendront prochainement pêcher dans les eaux des provinces du Sud, en vertu des accords signés entre le Royaume et l’Union européenne.
A signaler que le Polisario organise régulièrement des tournées dans les zones proches à l’est du Mur de protection pour s’attirer la sympathie des délégations étrangères, notamment des Parlements européens et recueillir des aides humanitaires qui suivront le même cheminement pour être commercialises par les dirigeants et leurs proches dans les pays voisins, à commencer par l’Algérie qui est la première à tirer profit de ces aides débarquées dans ses ports.