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Des jazzwomen ont plongé le public de la 17ème édition du Festival Tanjazz, vendredi dernier, dans un mélange d’influences musicales au rythme de métissage afro-américain, prônant l’amour, la paix et la tolérance. Chant, danse et bonnes vibrations, la recette de la saxophoniste et trompettiste Andrea Motis a fonctionné à merveille à l’occasion de sa première prestation sur la scène de Tanjazz. Agée seulement de 21 ans, elle a déjà 9 ans de carrière, puisqu’à 12 ans, elle commence à collaborer avec le jazz Sant Andreu Jazz Band, dirigé par le professeur de musique et musicien Joan Chamorro. Entourée sur scène par des musiciens des plus talentueux, en l’occurrence Joan Chamorro (contrebasse, saxophone, ténor), Josep Traver (guitare électrique), Ignasi Terraza (piano) et Esteve Pi Ventura (batterie), Andrea Motis a creusé dans le répertoire classique du jazz, du brésilien au catalan, gratifiant la foule présente d’un show hors du commun avec des moments improbables et des émotions débordantes.
Les mélomanes des rythmes jazzistiques ont été aussi enchantés par un autre concert animé par la jeune et charismatique Champian Fulton qui a brillé aussi bien par son talent que par sa spontanéité, en célébrant avec brio le swing et les racines afro-américaines du jazz. Dans un cadre convivial et chaleureux, la chanteuse Nina Attal a conquis le cœur de l’assistance présente sur une scène publique implantée devant le port Tanger ville, avec une voix des plus prometteuses, capable de se déplacer avec aisance entre différents registres, du funk au soul en passant par le jazz.
Le public a eu également l’aubaine de vibrer, dans une ambiance féerique, aux rythmes des chansons que la talentueuse Gaëlle Buswel a spécialement concoctées pour ses admirateurs venus par milliers assister à ce concert riche en émotions et en couleurs. Les festivaliers ont été également gratifiés de concerts inédits donnés par des femmes passionnées de jazz, dont l’Italienne à la voix de velours Ada Montellanico, le groupe “Les Muses Tanguent”, la formation du jazz Sylvia Howard & The Black Label Swingtet et le trio afro-brésilien de la pianiste belge Anne Wolf.
Les mélomanes des rythmes jazzistiques ont été aussi enchantés par un autre concert animé par la jeune et charismatique Champian Fulton qui a brillé aussi bien par son talent que par sa spontanéité, en célébrant avec brio le swing et les racines afro-américaines du jazz. Dans un cadre convivial et chaleureux, la chanteuse Nina Attal a conquis le cœur de l’assistance présente sur une scène publique implantée devant le port Tanger ville, avec une voix des plus prometteuses, capable de se déplacer avec aisance entre différents registres, du funk au soul en passant par le jazz.
Le public a eu également l’aubaine de vibrer, dans une ambiance féerique, aux rythmes des chansons que la talentueuse Gaëlle Buswel a spécialement concoctées pour ses admirateurs venus par milliers assister à ce concert riche en émotions et en couleurs. Les festivaliers ont été également gratifiés de concerts inédits donnés par des femmes passionnées de jazz, dont l’Italienne à la voix de velours Ada Montellanico, le groupe “Les Muses Tanguent”, la formation du jazz Sylvia Howard & The Black Label Swingtet et le trio afro-brésilien de la pianiste belge Anne Wolf.