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Le paysage littéraire marocain vient de s’enrichir d’une nouvelle publication, «Voix d’auteurs du Maroc» (Ed Marsam, 2016), coordonnée par Abdellah Baïda, Mamoun Lahbabi et Jean Zaganiaris. Ce recueil regroupe 30 écrivains autour de la question : «Qu’est-ce que la littérature ?». Parmi eux, Bouthaina Azami, Réda Dalil, Bahaa Trabelsi, Fouad Laroui, Mokhtar Chaoui et Mohammed Berrada. L’ambition des initiateurs de ce projet est de faire réagir des femmes et des hommes de lettres sur leurs pratiques de l’écriture. Chacun y dévoile, à sa manière, sa vision de cet art ainsi que ses façons d’écrire et d’envisager son activité d’écrivain.
Les noms cités sont un échantillon, non exhaustif, qui montre la richesse de la littérature du Maroc. Certains écrivains sont déjà reconnus et consacrés dans le métier, d’autres sont au début d’une carrière prometteuse, certains sont publiés par de grandes maisons d’édition étrangères, parisiennes en paprticulier, d’autres sont édités au Maroc. Parmi les auteurs, certains vivent à l’étranger et quelques-uns, sans être natifs de ce pays, l’ont élu comme terre de vie et d’écriture. Les sensibilités divergent mais la préoccupation est la même : trouver la formule magique pour écrire le chef-d’œuvre rêvé». D’où l’actualité de ces interrogations : pourquoi écrire ? Comment écrit-on ? Quelle réflexion porte-t-on, en tant qu’écrivaine et écrivain, sur les spécificités de l’écriture littéraire ? … Un kaléidoscope qui pourrait bien refléter l’effervescence du paysage littéraire marocain.
Les noms cités sont un échantillon, non exhaustif, qui montre la richesse de la littérature du Maroc. Certains écrivains sont déjà reconnus et consacrés dans le métier, d’autres sont au début d’une carrière prometteuse, certains sont publiés par de grandes maisons d’édition étrangères, parisiennes en paprticulier, d’autres sont édités au Maroc. Parmi les auteurs, certains vivent à l’étranger et quelques-uns, sans être natifs de ce pays, l’ont élu comme terre de vie et d’écriture. Les sensibilités divergent mais la préoccupation est la même : trouver la formule magique pour écrire le chef-d’œuvre rêvé». D’où l’actualité de ces interrogations : pourquoi écrire ? Comment écrit-on ? Quelle réflexion porte-t-on, en tant qu’écrivaine et écrivain, sur les spécificités de l’écriture littéraire ? … Un kaléidoscope qui pourrait bien refléter l’effervescence du paysage littéraire marocain.