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«Le lutteur» est le titre du nouveau roman que vient de dédicacer, samedi 10 octobre à l’Institut français de Marrakech, son auteur, le romancier Moulay Seddik Rebbaj. Une nouvelle rencontre avec cet écrivain qui ne cesse de voyager dans les dédales de la société marocaine, dans ses recoins inexplorés et ses thématiques marginalisées, sinon oubliées.
Modérée par Rachid Mansoum, de l’IF de Marrakech, cette belle rencontre a été l’occasion pour Rebbaj de revenir sur la portée sémantique de son roman. Tolérance, différence, cohabitation, racisme … autant de thèmes qui trouvent leur actualité dans le fardeau d’un train train quotidien sordide.
L’histoire n’y va pas par quatre chemins … Une tribu issue, au cours des siècles, de l’immigration des Subsahariens réussit fort dans son organisation et sa production de richesses… au point d’en faire des envieux. Le village fut ainsi massacré. Yahya, sa mère, sa sœur et son frère sont partis vivre loin. A 14 ans, le jeune Yahya assure une responsabilité du reste très difficile.
Grâce à ses qualités de lutteur, il ira jusqu’à aider sa famille à trouver un bon refuge. Le cheikh de la communauté a choisi Yahya parmi les membres de sa garde dévouée. Mais un problème constitue un handicap à son intégration : la couleur de sa peau, le lutteur n’a autre chose à faire que de chercher sa délivrance et celle de sa famille. Il s’agit du quatrième roman de My Seddik Rabbaj, après «Inshallah», «L’école des sables» et «Suicidaire en sursis». L’écrivain qui ne lésine pas sur son regard critique sur une société en ébullition, est en passe de devenir l’une des voix de la raison, de la tolérance et du changement.
Modérée par Rachid Mansoum, de l’IF de Marrakech, cette belle rencontre a été l’occasion pour Rebbaj de revenir sur la portée sémantique de son roman. Tolérance, différence, cohabitation, racisme … autant de thèmes qui trouvent leur actualité dans le fardeau d’un train train quotidien sordide.
L’histoire n’y va pas par quatre chemins … Une tribu issue, au cours des siècles, de l’immigration des Subsahariens réussit fort dans son organisation et sa production de richesses… au point d’en faire des envieux. Le village fut ainsi massacré. Yahya, sa mère, sa sœur et son frère sont partis vivre loin. A 14 ans, le jeune Yahya assure une responsabilité du reste très difficile.
Grâce à ses qualités de lutteur, il ira jusqu’à aider sa famille à trouver un bon refuge. Le cheikh de la communauté a choisi Yahya parmi les membres de sa garde dévouée. Mais un problème constitue un handicap à son intégration : la couleur de sa peau, le lutteur n’a autre chose à faire que de chercher sa délivrance et celle de sa famille. Il s’agit du quatrième roman de My Seddik Rabbaj, après «Inshallah», «L’école des sables» et «Suicidaire en sursis». L’écrivain qui ne lésine pas sur son regard critique sur une société en ébullition, est en passe de devenir l’une des voix de la raison, de la tolérance et du changement.