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Le secteur des télécommunications au Maroc va connaître sous peu une véritable avancée avec l’arrivée effective sur le marché national des technologies mobiles de 4ème génération (4G) dont les offres en vue de l’attribution des licences sera lancée dans les prochains jours.
En effet, l’appel à concurrence pour l’octroi de licences pour l’établissement et l’exploitation de réseaux de télécommunications utilisant des technologies mobiles de 4ème génération sera lancé lundi 17 novembre courant, a annoncé l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT).
Cette opération devrait permettre, à terme, au Maroc de se doter des dernières technologies en termes de communications mobiles, souligne l’ARNT.
Il est à noter que cet appel comporte un cahier des charges qui fixe «les dispositions réglementaires et les conditions techniques et financières dans lesquelles chaque réseau 4G sera établi et précise les modalités de fourniture commerciale des services ainsi que les obligations de chaque futur attributaire en termes notamment de couverture, de qualité de service», indique l’ARNT. En plus d’un règlement précisant les différentes modalités régissant le déroulement du processus et l’évaluation des offres, ajoute l’agence.
Très attendues par les opérateurs nationaux que sont Maroc Telecom, Meditel et Inwi, les technologies 4G constituent l’évolution technologique majeure dans la téléphonie mobile, un secteur en pleine évolution au Maroc.
Pour rappel, le Maroc compte plus de 43 millions d'abonnements à la téléphonie mobile.
Au cours d’une rencontre des représentants des organismes de régulation du secteur des télécommunications des pays francophones, organisée en octobre dernier à Marrakech, Azdine El Mountassir Billah, DG de l'ANRT, indiquait un taux de pénétration de 130% et près de 8 millions de clients Internet, majoritairement connectés via la 3G avec un taux de 88%. Ce qui donne la mesure du marché national.
A propos de ces nouvelles technologies, le gendarme des télécommunications estime qu’elles «devraient essentiellement garantir des débits de navigation suffisamment élevés par rapport à ceux pratiqués actuellement, assurer de meilleures qualités de service et contribuer à la rénovation des réseaux mobiles existants et à leur désaturation».
La 4G permettra à l’utilisateur mobile d’accéder, aisément et avec un faible temps de latence, à des services comme le streaming en haute définition, les appels en visio, assure cet établissement public, chargé de la régulation et de la réglementation du secteur des télécommunications.
Dans une note publiée sur son site Internet, l’Agence indique que cette technologie «permettra d’offrir des services à des débits plus élevés que ceux de la 3G, pouvant atteindre un débit de 300 MB/s. Ces nouvelles technologies promettent d’offrir une meilleure qualité d’écoute et de conversation sur les mobiles», soulignant que la 4G apportera des changements au niveau des modes de consommation des utilisateurs orientés davantage vers le mobile. En effet, la 4G permettra la virtualisation des espaces de travail à des niveaux importants en raison de la fluidité, la rapidité et la convivialité des échanges et contribuera davantage à la réduction de la fracture numérique. Ce qui devait augmenter «l’usage des particuliers pour de nouveaux services tels que le e-shopping, e-gov, médias, éducation, santé» et développer de nouvelles offres de services d’e et m-commerce, par exemple.
En se dotant de ces technologies très avancées, le Maroc confirme une fois de plus son leadership au Maghreb dans le domaine des communications mobiles et maintient sa position parmi les pionniers en Afrique et dans les pays arabes.
A ce propos, il est à rappeler que l’Algérie vient à peine de boucler la 3G.
En effet, l’appel à concurrence pour l’octroi de licences pour l’établissement et l’exploitation de réseaux de télécommunications utilisant des technologies mobiles de 4ème génération sera lancé lundi 17 novembre courant, a annoncé l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT).
Cette opération devrait permettre, à terme, au Maroc de se doter des dernières technologies en termes de communications mobiles, souligne l’ARNT.
Il est à noter que cet appel comporte un cahier des charges qui fixe «les dispositions réglementaires et les conditions techniques et financières dans lesquelles chaque réseau 4G sera établi et précise les modalités de fourniture commerciale des services ainsi que les obligations de chaque futur attributaire en termes notamment de couverture, de qualité de service», indique l’ARNT. En plus d’un règlement précisant les différentes modalités régissant le déroulement du processus et l’évaluation des offres, ajoute l’agence.
Très attendues par les opérateurs nationaux que sont Maroc Telecom, Meditel et Inwi, les technologies 4G constituent l’évolution technologique majeure dans la téléphonie mobile, un secteur en pleine évolution au Maroc.
Pour rappel, le Maroc compte plus de 43 millions d'abonnements à la téléphonie mobile.
Au cours d’une rencontre des représentants des organismes de régulation du secteur des télécommunications des pays francophones, organisée en octobre dernier à Marrakech, Azdine El Mountassir Billah, DG de l'ANRT, indiquait un taux de pénétration de 130% et près de 8 millions de clients Internet, majoritairement connectés via la 3G avec un taux de 88%. Ce qui donne la mesure du marché national.
A propos de ces nouvelles technologies, le gendarme des télécommunications estime qu’elles «devraient essentiellement garantir des débits de navigation suffisamment élevés par rapport à ceux pratiqués actuellement, assurer de meilleures qualités de service et contribuer à la rénovation des réseaux mobiles existants et à leur désaturation».
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