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Après l'Afrique (Radès en Tunisie, Tanger au Maroc et Libreville) et l'Amérique du Nord (Montréal et New York), la Ligue de football professionnel souhaite franchir une nouvelle étape dans son développement en s'attaquant à un territoire défriché depuis de longue date par les principaux championnats européens.
La Chine et son 1,4 milliard d'habitants sont censés servir de porte d'entrée aux clubs français en Asie où les plus grandes formations de la planète disposent d'un immense réservoir de supporteurs et ont l'habitude d'effectuer de lucratives tournées.
La Fédération italienne a été pionnière en la matière en organisant en 2009 la Supercoupe en Chine. La LFP a suivi l'exemple en partenariat avec une société locale, United Vensen International Sport.
En bénéficiant de la nouvelle dimension prise par le PSG, racheté en 2011 par le Qatar, et par Monaco, propriété du milliardaire russe Dmytri Rybolovlev, la Ligue a réussi à faire exploser le montant de ses droits télévisuels à l'international, passé de 32,5 à 80 millions d'euros par an pour la période 2018-2024, selon le nouveau contrat signé avec la chaîne qatarie BeIn Sports.
Mais ces chiffres restent très éloignés de ses concurrents continentaux. A titre de comparaison, la Serie A italienne touche 125 M EUR de droits TV à l'étranger par saison, la Liga espagnole 150 M EUR, alors que l'Angleterre bat tous les records avec 850 M EUR.