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En 2014, 69,5% des jeunes garçons ont bénéficié d’une formation du secondaire ou du supérieur (contre 52,1% en 2004) et 59% des jeunes filles (contre 39,1% en 2004). 14% des jeunes filles n’ont aucun niveau d’instruction contre 6,1% des jeunes garçons, contre respectivement 39,1% et 18,1% en 2004. 22,9% des jeunes garçons ont le niveau du primaire (27,4% en 2004) contre 26,8% des filles (21,5% en 2004). 4,3% des jeunes sans niveau d’instruction résident en milieu urbain (13,1% en 2004) contre 18,4% en milieu rural (46,8% en 2004). Prés du tiers des jeunes des villes ont le niveau du secondaire qualifiant (22,5% en 2004) contre 11,8% des jeunes des campagnes (5,4% en 2004). Seuls 3,7% parmi les jeunes ruraux ont atteint le supérieur (1,6% en 2004), contre 14,3% parmi les jeunes urbains (7,8% en 2004). Le taux d’activité des jeunes de 15 à 24 ans a baissé entre 2004 et 2014. Il est passé de 47% à 35,2%. Il est de 38,6% dans les campagnes (53% en 2004) contre 32,8% dans les villes (41,9% en 2004). Il s’établit à 52,6% pour les jeunes garçons (64,4% en 2004) contre 17,9% pour les jeunes filles (30,4% en 2004). Les taux d’activité des régions de Tanger-Tétouan-Al Hoceïma et Dakhla-Oued Eddahab, de 42,2% et 41,6% respectivement, dépassent le taux national de 35,2%. Les régions de Béni Mellal-Khénifra, Casablanca-Settat, Fès-Meknès, Rabat-Salé-Kénitra, l’Oriental et Marrakech-Safi présentent des niveaux proches du taux national. En revanche, c’est dans les régions de Laâyoune-Sakia El Hamra (32,5%), Souss-Massa (29,7%), Drâa-Tafilalet (28,2%) et Guelmim-Oued Noun (26,3%), où l’on observe les plus faibles taux d’activité des jeunes.