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Le Centrafrique réitère son soutien à l’intégrité territoriale du Royaume


Libé
Vendredi 24 Février 2017

Le doyen du corps diplomatique salue le leadership de S.M le Roi en faveur de la défense des intérêts du continent africain

L’ambassadeur de la République centrafricaine et doyen du corps diplomatique africain au Maroc, Ismaila Nimaga, a salué la clairvoyance de S.M le Roi Mohammed VI et son leadership en faveur de l’unification de l'Afrique et la défense de ses intérêts. 
Lors de ses entretiens, mardi à Rabat, avec le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki, il a souligné que son pays apprécie les efforts du Souverain pour la consolidation de la sécurité, de la stabilité et du développement du continent africain, indique la Chambre dans un communiqué. 
Le diplomate a également félicité le Maroc pour son retour à l’Union africaine (UA), notant que les peuples africains ont accueilli avec une grande satisfaction cette décision tant attendue, ajoute la même source. 
Il a saisi cette occasion pour relever que les pays africains ambitionnent de tirer profit de l’expérience et de l’expertise accumulées par le Maroc dans tous les domaines, ajoutant que le Royaume constitue un trait d’union entre les pays du Sud et ceux du Nord. 
Sur le plan bilatéral, l’ambassadeur de Centrafrique a remercié le Maroc pour sa solidarité et son soutien à son pays dans des domaines aussi importants que le renforcement de la paix, la stabilité, l’unité territoriale, l’économie, l’environnement, la santé et la formation, tout en réaffirmant le soutien de la République centrafricaine à l’intégrité territoriale du Royaume. 
Pour sa part, M. El Malki a mis en exergue la vision de S.M le Roi pour le renforcement de la coopération Sud-Sud notamment avec les pays africains, rappelant, à cet égard, le discours prononcé par le Souverain devant le 28ème Sommet de l’UA à Addis-Abeba. 
Il a également exprimé la reconnaissance du Maroc pour la position de la République centrafricaine et d’autres pays africains ayant soutenu le retour du Maroc à sa famille institutionnelle africaine, rappelant les relations historiques unissant les deux pays. 
S’agissant du volet parlementaire, le président de la Chambre des représentants a mis l’accent sur l’importance de l’intensification de la coopération et de la concertation entre les deux institutions législatives à travers l’activation des groupes d’amitié parlementaires et l’échange des expériences. 


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1.Posté par Ilyas le 25/02/2017 23:33
Le ministre des Affaires étrangères de la Zambie, Harry Kalaba, a confirmé sa déclaration du 9 juillet 2016 concernant le retrait par la Zambie de sa reconnaissance de la pseudo-RASD.
Dans une déclaration à la MAP, le ministre zambien des Affaires étrangères a affirmé : "je réitère ma déclaration faite à Rabat le 9 juillet 2016", dans laquelle il avait annoncé le retrait par la Zambie de sa reconnaissance de la pseudo-RASD et la rupture de tous liens avec cette entité.

En outre, ke ministre zambien des Affaires étrangères a rappelé que "la Zambie soutient les efforts des Nations Unies pour parvenir à une solution finale au différend régional sur le Sahara occidental", soulignant que "la Zambie est effectivement désireuse de contribuer, de manière constructive, à ces efforts, à travers une position de neutralité ouverte sur les parties prenantes et maintenant un dialogue actif".
Selon le site Algérien TSA....
Tizi Ouzou : naissance du Rassemblement pour l’autonomie de la Kabylie
19:52 samedi 25 février 2017 | Par Imene Brahimi | Actualité
Un nouveau mouvement réclamant une large autonomie pour la Kabylie vient d’être créé à l’issue d’une convention politique au village Arous, dans la commune d’Ait Oumalou, dans la wilaya de Tizi Ouzou, selon un communiqué diffusé par ses initiateurs.

Ces derniers expliquent que ce mouvement est créé sous l’appellation Rassemblement pour la Kabylie, « RPK qui se veut, précisent-ils, un lieu de rassemblement pour tous les Kabyles qui partagent le projet d’une large autonomie politique de la Kabylie dans une Algérie plurielle et démocratique ».

Contrairement au MAK qui revendique l’indépendance de la Kabylie, le RPK affirme avoir comme objectif politique « la reconnaissance, par l’État algérien, d’un statut particulier de la Kabylie qui lui permettra de se doter d’institutions propres dont un parlement et un gouvernement régional », selon la même source.


Tout en rappelant la nécessité de la redéfinition de la nation algérienne dans une vision, soulignent-ils, multiculturaliste et la refondation de l’État algérien, le RPK affirme qu’il s’est fixé comme priorité « la sauvegarde de l’identité kabyle et la promotion et le développement de la langue et de la culture kabyle ».

Les auteurs de la déclaration notent également que leur mouvement récuse toute forme de violence et inscrit ses actions dans le prolongement des luttes identitaires et démocratiques engagées avant et après le printemps berbère d’avril 1980.

« Une direction politique a été installée et a été chargée de préparer les assises du RPK », selon le communiqué.
Après le MAK (mouvement pour l autonomie de la Kabylie),le MAC (mouvement pour l autonomie chaoui),le MZAB (mouvement pour l autonomie du MZAB,l AZAWAD (séparatistes au sud de l Algérie,les touareg,les targui berbères du sud de l Algérie sans oublier les touareg et les djihadistes de l Aqmi et le MNLA séparatistes vivant à cheval en l Algérie et le Mali sans oublier les pseudo rasd créé par Alger,avec la crise économique ,vous avez avec tout ceux-ci une vrai poudrière....
Que Dieu préserve le peuple maghrébin...

2.Posté par Miloud le 25/02/2017 23:39
Actualité Le Matin 22 Fev 2017 - 12:56 58749 (10)
La presse allemande voit l’Algérie en "danger de désintégration" !
Le président Bouteflika recevant en 2015 le ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier.
L’annulation du voyage prévu en Algérie, pour lundi, de la chancelière allemande, Angela Merkel, une heure à peine avant le décollage de son avion, suscite en Allemagne des interrogations sur la capacité de Bouteflika à diriger le pays.



Rien n'est épargné décidément pour l'Algérie ! Si les autorités continuent presque imperturbables à mener les affaires du pays, à l'étranger, les signaux alarmants se multiplient.

Des grands titres allemands, tels que le quotidien Die Welt ou le magazine Der Spiegel n’ont pas hésité à qualifier la situation en Algérie "d’intenable" et "d’explosive". Die Welt s’est même interrogé si "bientôt il n’y aurait des dizaines de milliers de réfugiés en provenance d’Algérie".

Les scénarios catastrophes se font insistants. Loin d'Alger, on est tenté de croire que le régime est vu avec des lunettes grossissantes. Exemple :

"Si le président Bouteflika, malade depuis des années, meurt, le pays pourrait plonger dans le chaos."

Pour Die Welt (litéralement Le Monde), l’un des trois plus grands quotidien allemands (distribué dans 130 pays) :"Si le président Bouteflika, malade depuis des années, meurt, le pays pourrait plonger dans le chaos", prophétise-t-il. Non pas parce qu’il est l’homme de la situation, comme le répètent inlassablement les ministres, mais parce qu’il a créé le vide autour de lui. Le journal pointe plusieurs facteurs qui pourraient être la cause d’une implosion du pays. La corruption, l'oppression, les prix élevés des denrées alimentaires et l'insatisfaction de la population algérienne sont autant de facteurs qui menacent d’embraser la situation. Ce constat jure terriblement avec le dernier message du chef de l'Etat à l'occasion de la journée du chahid dans lequel un tableau idylique de l'Algérie est dressé par les auteurs.

Le quotidien allemand donne la parole à Jeremy Keenan, professeur à l'École des études orientales et africaines, Université de Londres. Ce dernier pense que "c’est seulement une question de temps avant que la situation en Algérie n’explose". Avant d’ajouter : "La corruption et la répression sont immenses et les conditions de vie se détériorent. La seule chose qui manque c’est l'étincelle." Il faut préciser ici que nombre d'analystes algériens ont déjà fait le même constat.

Le chercheur, qui passe en revue l’ensemble des maux sociaux en Algérie, tel que le chômage des jeunes, les mesures d’austérités, l’inflation, et la cherté de la vie, pense que "la situation est semblable à celle de la Tunisie, de la Libye, ou de l’Égypte en 2011". "Ce sont exactement les ingrédients qui ont conduit au renversement des dirigeants en Tunisie, en Libye et en Égypte." Une observation relevée déjà par de nombreux think tank américain.

Sur les colonnes de Die Welt, Jeremy Keenan aborde aussi le conflit clanique pour la succession au sein du pouvoir algérien. Ce journal influent allemand estime que Saïd Bouteflika, frère du président, "est corrompu et pourrait difficilement être le nouveau leader".

En ce qui concerne l’armée algérienne, celle-ci serait dans "un État catastrophique» selon l’académicien anglais qui pointe des problèmes d’insatisfaction et d’administration au sein des troupes armées algériennes. "Les simples soldats sont complétement insatisfaits du mauvais traitements qu’ils subissent et de la mauvaises administration militaire". Pour l’ethnologue britannique, le gouvernement algérien joue sur la peur en sur estimant la présence des djihadistes sur le territoire algérien. «Il y a certainement des djihadistes, mais pas autant que fera un faire croire le gouvernement algérien", concluait-il.

Humiliation diplomatique : "c’est la première fois de son histoire, que le gouvernement algérien a dû annuler la visite d’Etat d’un gouverneur étranger avec un si court préavis."

Le célèbre magazine politique Der Spiegel, dans sa version en ligne fait remarquer que "c’est la première fois de son histoire, que le gouvernement algérien a dû annuler la visite d’Etat d’un gouverneur étranger avec un si court préavis (…) ce qui dénote de la fragile santé du président". Le ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier, dernier homme politique allemand qui a eu à rencontrer le président algérien, disait d’ailleurs en janvier 2015 qu’il "était très touché par la conversation avec le Bouteflika gravement malade". Il avait l'impression que ce fut "la dernière rencontre avec le chef de l'Etat", tellement qu’il le trouvait mal en point.

Qui gouverne vraiment l’Algérie ? Les regards se tournent souvent vers le frère du président.

"Saïd Bouteflika avait empêché le Premier ministre Sellal de voir le président pendant 46 jours en attente d’une audience"

Tout en pointant la lutte acharnée pour le pouvoir, opposant le général de corps d'armée Gaïd Salah à Saïd Bouteflika, le magazine allemand met l’accent sur les nombreux soupçons de corruption qui pèsent sur le frère du Président, de 20 ans son cadet. "Il a montré sa puissance entre autres en 2013, lorsque le chef de l'Etat était malade pour des mois, Saïd Bouteflika avait empêché le premier ministre Sellal de voir le président pendant 46 jours en attente d’une audience", soutient Der Spiegel, qui ne précise pas les raisons de ce refus. Car il faut préciser que le premier ministre a été jusqu'à présent un soutien fidèle jusqu'à la caricature du chef de l'Etat.

"Le frère du Président est cité dans de nombreuses allégations de corruption qui n’ont fait l’objet d’aucunes poursuites judiciaires". Quant au général Gaïd Salah il serait embusqué pour prendre le pouvoir à "la Sissi", pronostique le magazine politique allemand sans pour autant étayer ses projections.

"L'opposition a déjà mis en garde contre les ambitions du très médiatiuqe Gaïd Salah travaillant sur un coup d'Etat silencieux sur le modèle du dictateur égyptien Abdel Fattah El-Sissi", conclut le célèbre magazine.

La rédaction
Le Matin DZ

3.Posté par alboujdouri le 26/02/2017 11:53
On sent la panique chez l ennemi du Maroc...
Piètre provocation du pseudo non sahraouis (d origine )rasd ...
la diplomatie marocaine a accélérée le rythme, accords économiques et politiques en Afrique, ect...
ils ont intérêts a vidangé leurs chameaux pour fuir la région quand notre armée se lancera a leurs trousses....

4.Posté par Miloud le 26/02/2017 17:07
Même TSA journal intime du Polisario n y croit plus.....
Que va faire le Front Polisario ?

Reste à savoir ce que va faire maintenant le Polisario. Va-t-il aussi rebrousser chemin ? Même s’il était délogé de Guerguerat par la force, le mouvement sahraoui aurait pu tirer profit d’un bref affrontement armé. Plus encore que son prédécesseur, son nouveau chef, Brahim Ghali, cherche à sortir le conflit de l’oubli dans lequel il plongea peu après le cessez-le-feu de 1991. Il souhaite que la communauté internationale s’y intéresse à nouveau et force le Maroc à négocier, ce qu’il se refuse de faire depuis 2011 à Manhasset, dans la banlieue de New York. Pour Ghali, déterrer la hache de guerre, ne serait-ce que brièvement, c’est aussi démontrer à cette jeunesse sahraouie, avide de reprendre les armes, qu’il tient compte de ses aspirations.

Le Maroc ne veut plus, en effet, négocier le sort de « son » Sahara. Il n’évoque même plus très souvent cette offre timide d’autonomie pour le Sahara qu’il avait formulée en 2007 et qui avait été applaudie à Paris et Madrid car ces capitales avaient aidé discrètement à son élaboration. Il table désormais, pour asseoir son contrôle sur ce grand morceau de désert, sur l’effondrement de l’Algérie frappée par une grave crise économique à cause de la chute du prix des hydrocarbures et qui n’arrive toujours pas à trouver un successeur à son président malade.

La santé fragile d’Abdelaziz Bouteflika nuit déjà à la politique étrangère de l’Algérie face à un roi marocain qui ne cesse depuis l’automne de parcourir l’Afrique. Sans une Algérie débout, il n’y aura plus de Polisario, pense-t-on plus que jamais à Rabat. C’est la deuxième fois qu’on y fait ce calcul. La première fut dans les années quatre-vingt-dix quand l’Algérie subissait les coups des groupes terroristes, mais alors, il ne s’est pas vérifié.
Source TSA
https://www.google.fr/url?sa=t&source=web&rct=j&url=http://www.tsa-algerie.com/20170226/maroc-recule-a-guerguerat-va-faire-front-polisario/&ved=0ahUKEwinyKXYna7SAhVFOhQKHYsPD0oQqOcBCBowAA&usg=AFQjCNH6-NZo9KZzR7ff9UJpEh8XiRzdXQ


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