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Les réseaux sociaux ont contribué au développement de la chanson marocaine, vu que les artistes ont commencé à avoir un contact direct et permanent avec leurs fans, a affirmé, vendredi à Rabat, l'artiste Latefa Raefat.
"Les critiques qui touchent les artistes sur les réseaux sociaux sont le prix à payer pour leur succès sur la scène artistique", a indiqué Latifa Raafat, lors d’une conférence de presse avant son concert dans le cadre de la 16ème édition du Festival Mawazine rythmes du monde (12-20 mai).
"Mon public m’encourage à donner plus et à continuer dans mon élan", s’est félicitée l’artiste marocaine, ajoutant qu’elle tente d’apporter une touche nouvelle à ses anciennes chansons, tout en préservant leur authenticité, afin d’accompagner les nouveautés que connaît la scène artistique.
Elle a noté qu’elle n’épargne aucun effort pour soutenir les jeunes artistes, relevant dans ce cadre la participation d’artistes marocains dans toutes les émissions de concours de la chanson arabe. Soulignant qu'elle étudie actuellement plusieurs œuvres qui lui ont été présentées, Latifa Raafat a fait état de la possibilité de travailler de concert avec un artiste turc dans les prochains jours, relevant que la bonne conduite et le respect de l’éthique pèsent beaucoup dans la scène artistique.
La diva marocaine s’est fait connaître au début des année 80. C’est en 1982 qu’elle enregistre sa première chanson “Mawal Al Hob”. En 1985, elle remporte le prix de la chanson marocaine avec le grand titre "Khouyi". Figure emblématique de la chanson marocaine, Latifa Raafat dispose d’une des plus belles discographies avec des titres tels que “Maghyara”, “Donia”, “Al Hamdo Li Llah”, “Ya hli Ya Aachrani” ou encore “Ana fi Arek Ya Yama”. Grâce à ses chansons, les pays arabes ont découvert et apprécié le dialecte marocain.
"Les critiques qui touchent les artistes sur les réseaux sociaux sont le prix à payer pour leur succès sur la scène artistique", a indiqué Latifa Raafat, lors d’une conférence de presse avant son concert dans le cadre de la 16ème édition du Festival Mawazine rythmes du monde (12-20 mai).
"Mon public m’encourage à donner plus et à continuer dans mon élan", s’est félicitée l’artiste marocaine, ajoutant qu’elle tente d’apporter une touche nouvelle à ses anciennes chansons, tout en préservant leur authenticité, afin d’accompagner les nouveautés que connaît la scène artistique.
Elle a noté qu’elle n’épargne aucun effort pour soutenir les jeunes artistes, relevant dans ce cadre la participation d’artistes marocains dans toutes les émissions de concours de la chanson arabe. Soulignant qu'elle étudie actuellement plusieurs œuvres qui lui ont été présentées, Latifa Raafat a fait état de la possibilité de travailler de concert avec un artiste turc dans les prochains jours, relevant que la bonne conduite et le respect de l’éthique pèsent beaucoup dans la scène artistique.
La diva marocaine s’est fait connaître au début des année 80. C’est en 1982 qu’elle enregistre sa première chanson “Mawal Al Hob”. En 1985, elle remporte le prix de la chanson marocaine avec le grand titre "Khouyi". Figure emblématique de la chanson marocaine, Latifa Raafat dispose d’une des plus belles discographies avec des titres tels que “Maghyara”, “Donia”, “Al Hamdo Li Llah”, “Ya hli Ya Aachrani” ou encore “Ana fi Arek Ya Yama”. Grâce à ses chansons, les pays arabes ont découvert et apprécié le dialecte marocain.