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Les ministres se relaient pour ressasser la même rengaine
A titre d’exemple, quelques candidats de Marrakech recourent à l’organisation de tournois de football en vue d’inciter les jeunes à voter pour tel parti ou tel autre. Idem à Casablanca où des informations circulent au sujet du recours des candidats à l’agent sale et où des sommes pouvant atteindre les 3000 DH sont distribuées sans que les autorités locales n’interviennent pour y mettre le holà.
Benkirane persona
non grata à Taza
La campagne électorale qui a été entamée samedi dernier a été également marquée ces derniers jours par les déboires du PJD et de son leader, Abdelilah Benkirane. Ce dernier a été, en effet, déclaré persona non grata par les habitants de Taza.
Lors d’un meeting organisé au début de cette semaine, ce dernier a passé de mauvais moments qu’il ne sera certainement pas près d’oublier de sitôt. Au lieu de se voir acclamé comme il l’escomptait béatement , la foule qui s’est massée à la Place du 20 Août l’a appelé à prendre sinon ses cliques et ses claques, du moins, la poudre d’escampette.
Ce qu’il fit rapidement et sous protection sécuritaire. Mais, au lieu de reconnaitre le bien-fondé de la colère des habitants de Taza envers le piètre bilan du gouvernement et de l’équipe pjdiste qui fait la pluie et le beau temps au conseil communal de la ville, le parti de la Lampe a cherché un bouc émissaire pour se défausser de ses responsabilités et elle en a trouvé en la personne de Hamid Chabat, secrétaire général du PI qu’elle a prestement accusé d’être l’instigateur de ce qui est advenu. Les dirigeants du PJD ont même forcé la dose en traitant les habitants de Taza de «baltajia ».
Affrontements à Casablanca
Autre témoignage de l’incapacité de l’Exécutif à assumer ses responsabilités afin que le prochain scrutin se déroule comme il se devrait : des affrontements violents ont opposé, mardi dernier à l’arrondissement de Hay Mohammadi à Casablanca et plus précisément à Hay Machroua, les sympathisants du candidat du parti du Progrès et du socialisme à ceux du Mouvement populaire.
Selon des sources médiatiques, les deux camps ont utilisé des sabres et des jets de pierres. Des blessées ont été même transportés à l’hôpital Mohammed V pour y recevoir des soins.
Touil, victime de menaces
Par ailleurs, et suite aux menaces proférées par une même personne à l’encontre d’Abdelkhalek Touil, auteur d’articles critiquant la gestion du PJD à la tête du conseil municipal de Oued Zem, le secrétariat provincial de l’USFP de cette ville a dénoncé vigoureusement ces comportements lâches visant à la fois à terroriser le militant ittihadi et à le forcer à mettre un terme à ses écrits légitimes, lit-on sur le site www.usfp-elections-2015.com
Tout en imputant la responsabilité de ces incidents indicibles aux forces de l’ordre et aux magistrats de la ville qui n’ont pas donné suite à la plainte déposée par Touil contre X le 2 février dernier.
La justice donne raison
à Moujahid
A signaler également que Younès Moujahid, membre du Bureau politique, prendra part aux élections communales à la circonscription d’Agdal-Riad à Rabat, et ce au nom de l’Union socialiste des forces populaires.
L’information, rapportée par le site officiel du parti, www.usfp-elections-2015.com, fait état du jugement rendu par le tribunal administratif de Rabat cassant le rejet de la candidature de Younès Moujahid.
Dans une déclaration accordée audit site, ce dernier a qualifié d’erreur étrange la décision de radier son nom de la liste, confirmant que la loi est claire et stipule qu’il faut informer la personne concernée après avoir procédé à sa radiation. Il a aussi démenti avoir reçu un avis ou avoir changé son adresse de résidence.