Autres articles
-
Exposition de bijoux au Théatre Italia
-
Un concert aux couleurs d’été à Casablanca signé Laila Al Habash
-
Rencontre culturelle à New York sur les oeuvres du réalisateur marocain Ahmed El Maanouni
-
Rabat accueille l’univers unique de quatre figures clés de l'art contemporain new-yorkais
-
Le cinéma marocain s'invite à Manille
"La chaise du concierge" est l'intitulé du nouveau livre de l’écrivaine, journaliste et scénariste, Bahaa Trabelsi, qui vient de paraître aux éditions "Le Fennec". Trois ans après la parution du recueil coup de poing " Parlez-moi d’amour", Prix Ivoire de la Francophonie 2014, Bahaa Trabelsi revient en force avec "La chaise du concierge", son cinquième ouvrage, un polar, une histoire de vie, où les mondes parallèles du Maroc se frôlent, se touchent, se traversent, se percutent en essayant (ou pas !) de se comprendre. L’ouvrage de 219 pages, qui est à la fois une fiction documentée et réaliste, et un thriller haletant qui prend ses racines dans l’univers quotidien casablancais, jette la lumière sur la vie d’un tueur en série qui signe ses meurtres diaboliques de versets de Coran, persuadé qu’il est la main de Dieu sur Terre pour la nettoyer des pécheurs. "Aujourd’hui, la salle de rédaction ressemble à un poulailler. La nouvelle est tombée en plein milieu de la réunion de sommaire, plus tôt dans la matinée.
A Casablanca, il y a des crimes tous les jours. Les rubriques des faits divers des quotidiens et des hebdomadaires en font leurs choux gras. Le rédac chef, comme un coq sur son perchoir, hurle. On ne s’entend plus, on gesticule et on brasse de l’air. Le crime en question les excite tous, écrit-elle dans l’introduction de ce roman.
« La chaise du concierge » qui est un roman à trois voix, met en exergue des narrations à la première personne, plonge les lecteurs dans les pensées les plus intimes de chacun et relate aussi des histoires dans l’histoire, lesquelles sont liées.
Ainsi, l’écrivaine explique dans son ouvrage : « Ce qui a pu pousser les terroristes à devenir terroristes et le serial killer à trouver un plaisir pervers à "purifier" ses proies ». Dans cet ouvrage, l’auteure met en exergue la noirceur des regards, des actes, d’une société qui perd ses repères où tout est sombre, troublant et féroce.
A Casablanca, il y a des crimes tous les jours. Les rubriques des faits divers des quotidiens et des hebdomadaires en font leurs choux gras. Le rédac chef, comme un coq sur son perchoir, hurle. On ne s’entend plus, on gesticule et on brasse de l’air. Le crime en question les excite tous, écrit-elle dans l’introduction de ce roman.
« La chaise du concierge » qui est un roman à trois voix, met en exergue des narrations à la première personne, plonge les lecteurs dans les pensées les plus intimes de chacun et relate aussi des histoires dans l’histoire, lesquelles sont liées.
Ainsi, l’écrivaine explique dans son ouvrage : « Ce qui a pu pousser les terroristes à devenir terroristes et le serial killer à trouver un plaisir pervers à "purifier" ses proies ». Dans cet ouvrage, l’auteure met en exergue la noirceur des regards, des actes, d’une société qui perd ses repères où tout est sombre, troublant et féroce.