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Suite à l’annulation, sans aucun préavis, de la Journée nationale du cinéma, un évènement d’envergure organisé chaque année par le Centre cinématographique marocain (CCM), le Bureau exécutif de la Chambre nationale des producteurs de films (CNPF) s’est vu «dans l’obligation d’attirer, une nouvelle fois, l’attention sur la succession sans fin de décisions unilatérales de l’administration de tutelle et de la direction du Centre cinématographique marocain qui portent des coups graves et douloureux au développement du cinéma national et tendent à stopper son élan», lit-on dans un communiqué du Bureau exécutif de ladite Chambre qui précise également que la Journée nationale du cinéma «a toujours été destinée à rassembler les professionnels du 7ème art, les administrateurs du secteur et la presse spécialisée en vue de se pencher sur le bilan de l’année cinématographique écoulée et débattre des meilleurs programmes et prévisions pour l’année suivante». «Il s’agit donc d’un rendez-vous particulièrement important sur tous les plans : moral, pratique et professionnel. Sa portée symbolique pour booster le secteur n’échappe à personne», ajoute-t-on de même source.
Dans ledit communiqué, le Bureau exécutif exprime sa crainte de voir cette annulation, qui a été décidée «sans aucune concertation avec les professionnels, comme le stipule la loi 20.99 qui régit l’organisation du CCM», aggraver davantage la situation et appuyer «toute une série de mesures qui visent, depuis plus de deux ans, à asphyxier le secteur et mettre un frein à l’élan et l’essor qu’il a connus durant la décennie écoulée».
Toujours selon le Bureau exécutif de la CNPF, la preuve n’est plus à démontrer avec notamment «la baisse rapide et alarmante de la production nationale, ainsi que la baisse notoire de la qualité et du rendu des festivals organisés par le CCM», indique ledit communiqué. «En plus de la multiplication des mesures qui compliquent et alourdissent les procédures administratives du CCM (autorisations de tournage, déblocages des tranches du Fonds d’aide, octroi des cartes professionnelles et des agréments…)», ajoute-t-on.
La CNPF conclut en lançant un appel à tous les professionnels du cinéma, «pour défendre solidairement et énergiquement les acquis de leur secteur et le faire évoluer afin d’occuper la place de choix qu’il doit avoir dans toute politique de développement socioéconomique et culturel de notre pays».
Dans ledit communiqué, le Bureau exécutif exprime sa crainte de voir cette annulation, qui a été décidée «sans aucune concertation avec les professionnels, comme le stipule la loi 20.99 qui régit l’organisation du CCM», aggraver davantage la situation et appuyer «toute une série de mesures qui visent, depuis plus de deux ans, à asphyxier le secteur et mettre un frein à l’élan et l’essor qu’il a connus durant la décennie écoulée».
Toujours selon le Bureau exécutif de la CNPF, la preuve n’est plus à démontrer avec notamment «la baisse rapide et alarmante de la production nationale, ainsi que la baisse notoire de la qualité et du rendu des festivals organisés par le CCM», indique ledit communiqué. «En plus de la multiplication des mesures qui compliquent et alourdissent les procédures administratives du CCM (autorisations de tournage, déblocages des tranches du Fonds d’aide, octroi des cartes professionnelles et des agréments…)», ajoute-t-on.
La CNPF conclut en lançant un appel à tous les professionnels du cinéma, «pour défendre solidairement et énergiquement les acquis de leur secteur et le faire évoluer afin d’occuper la place de choix qu’il doit avoir dans toute politique de développement socioéconomique et culturel de notre pays».