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Le Bureau exécutif de la Coalition nationale pour le développement de l’industrie cinématographique et de l’audiovisuel (CNDICA) est "désagréablement surpris et scandalisé par la nouvelle politique d’exclusion du film marocain de la 16ème édition du Festival international du film de Marrakech, ce qui constitue un précédent hautement préjudiciable au cinéma national qui risque de lui porter un coup dur et freiner le processus de son développement constant durant les dernières années", lit-on dans un communiqué du Bureau executif de la CNDICA. "Cette exclusion, couplée avec les récentes mesures qui compliquent et alourdissent les procédures administratives, rendant la tâche ardue aux producteurs et réalisateurs, sont susceptibles de continuer à asphyxier le cinéma national en entamant sérieusement ses acquis", ajoute-t-on de même source, avant de précisert que "Cannes sélectionne au moins cinq films français, Berlin fait de même pour les films allemands, Venise pour les films italiens, San Sebastian pour les films espagnols… C’est une tradition internationale observée partout dans le monde sauf au FIFM à compter de la présente édition".
Le FIFM est une manifestation cinématographique organisée au Maroc avec un financement marocain, et son budget représente en moyenne la production d’environ 16 longs métrages marocains. Il est donc logique et légitime qu’il ait un important impact, direct et indirect, sur le cinéma national", précise le Bureau exécutif de la CNDICA.
Aussi, tout en notant le fait que l’exclusion du film marocain du FIFM porte préjudice au cinéma national et suscite une grande inquiétude dans le milieu professionnel et l’opinion publique. Ledit Bureau souligne que la Coalition "a droit à des éclaircissements de cette situation de la part des organisateurs du festival ; comme elle est en droit de savoir ce qu’en pensent la direction du Centre cinématographique marocain et le ministère de la Communication en tant qu’autorité de tutelle du secteur.
Le FIFM est une manifestation cinématographique organisée au Maroc avec un financement marocain, et son budget représente en moyenne la production d’environ 16 longs métrages marocains. Il est donc logique et légitime qu’il ait un important impact, direct et indirect, sur le cinéma national", précise le Bureau exécutif de la CNDICA.
Aussi, tout en notant le fait que l’exclusion du film marocain du FIFM porte préjudice au cinéma national et suscite une grande inquiétude dans le milieu professionnel et l’opinion publique. Ledit Bureau souligne que la Coalition "a droit à des éclaircissements de cette situation de la part des organisateurs du festival ; comme elle est en droit de savoir ce qu’en pensent la direction du Centre cinématographique marocain et le ministère de la Communication en tant qu’autorité de tutelle du secteur.