Chercheurs et experts maghrébins débattent des problèmes de développement et des jeunes
-
Interpellation de deux individus soupçonnés de vol avec effraction dans une agence de transfert d’argent
-
Une tradition perpétuée de père en fils
-
La mosquée d'Al Koutoubia rouvre ses portes aux fidèles
-
Interception de 269 candidats à l’émigration irrégulière
-
Vague de chaleur de samedi à lundi dans plusieurs provinces du Royaume
Au menu de cette Université, organisée par l'Organisation d'action maghrébine (OAM) en partenariat avec la Fondation Hanns Seidel, plusieurs sessions ont été organisées touchant divers thèmes autour de la qualité de la pensée, ses champs et sa relation avec la recherche scientifique, notamment en matière d'objectivité que les chercheurs doivent adopter pour obtenir des résultats plus précis visant à résoudre les différents problèmes rencontrés par les sociétés maghrébines et les jeunes, ainsi que la démocratie participative et le cadre juridique de la pratique établie par la Constitution dans ce contexte.
Ces sessions, qui ont connu la participation de jeunes du Maroc, d'Algérie, de Tunisie, de Libye et de Mauritanie, ont traité, également, du phénomène de l'extrémisme chez les jeunes du Maghreb, en mettant l'accent sur l'importance du développement pour lutter contre l'extrémisme et le terrorisme, la question des jeunes et la démocratie à l'ère des réseaux sociaux et la relation dynamique que ces réseaux peuvent engendrer entre le gouvernement et la jeunesse, outre la question de la santé mentale chez les jeunes, les problèmes d’addiction et les facteurs psychologiques et sociologiques.
Dans sa 1ère édition, l’Université a élaboré une série de recommandations dont quelques-unes ont appelé à surmonter les divergences entre les pays du Maghreb, promouvoir la coopération économique, mettre en œuvre les institutions de l'Union maghrébine et accorder plus d’importance au système éducatif et à sa réforme.