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L’Institut français de Tanger va œuvrer à valoriser l’image moderne et l’identité culturelle de la ville du Détroit, à travers une programmation riche et variée lors de la saison d’automne, a affirmé, mercredi soir, le nouveau directeur de l’Institut, Jérôme Migayrou. “Nous allons œuvrer à valoriser nos actions culturelles en partenariat avec les acteurs locaux, afin d’être à l’écoute de Tanger et d’enrichir le champ culturel aux niveaux local et national, à travers l’amélioration de l’offre de formation linguistique, le développement des partenariats éducatifs et universitaires et la promotion des études en France”, a assuré M. Migayrou, qui intervenait lors d’une conférence de presse, consacrée à la présentation du programme culturel de l’Institut pour la saison d’automne.
Il s’est ainsi engagé à développer une offre culturelle à destination du jeune public, privilégier la présence de l’art dans l’espace public et à favoriser un développement de l’Institut en phase avec la modernité de Tanger. La programmation d’automne de l’Institut comporte le vernissage d’une exposition de Pierre Buraglio, du 2 octobre au 18 novembre, intitulée “Fenêtre à Tanger”. Cet artiste reconnu sur la scène internationale, membre du groupe Supports/Surfaces, a retenu pour sa 1ère exposition à la galerie Delacroix, des bleus, des verts et des ocres, des couleurs défaites de leur valeur esthétisante par le recyclage et le réemploi de matériaux dont la réalité physique nous renvoie à la réalité physique du monde extérieur.
Au programme figure également la présentation des pièces théâtrales “Rue des voleurs” de Mathias Enard, en partenariat avec le Festival international de Tanger de théâtre, et “Mazroube” d’Emilie Malosse, qui raconte comment un auteur, après avoir consacré sa vie à l’écriture, se retrouve pour la première fois coincé devant sa page blanche, à cause des souvenirs d’enfance qui lui échappent.
Par ailleurs, l’Institut français du Maroc, en partenariat avec le Festival Nuits Sonores Tanger, met en valeur le savoir-faire français en matière de musique électronique et organise une résidence de création entre artistes français et marocains. Cette année, le public du Festival Nuits Sonores Tanger sera amené à découvrir les productions de Para One, artiste phare de la scène “French Touch”, ainsi que le fruit de la résidence en studio qu’il aura réalisé à partir du 1er octobre avec des musiciens marocains, imprégnés des traditions musicales gnaoua et soufie. Au menu des activités de l’institut figurent également le vernissage de l’exposition de Saad Hassani, du 27 novembre au 15 janvier, à travers laquelle l’artiste explore le fond secret des traces et des signes, ainsi que des rencontres avec l’écrivain Eric Audinet, en résidence de création littéraire, l’auteur Erik Poulet-Reney, et des conférences sur “La Syrie, de l’Antiquité au début du XXIème siècle”, animée par Annick Leclerc, et sur “La nature et culture dans la littérature marocaine francophone” donnée par Annie Devergnas. A cela s’ajoutent des rencontres-lectures avec Dominique Nouiga, autour de son roman “Les noces du chacal” (La Croisée des chemins, 2014), et avec Eric Fottorino autour de son dernier roman “Chevrotine” (Gallimard, 2014).
Il s’est ainsi engagé à développer une offre culturelle à destination du jeune public, privilégier la présence de l’art dans l’espace public et à favoriser un développement de l’Institut en phase avec la modernité de Tanger. La programmation d’automne de l’Institut comporte le vernissage d’une exposition de Pierre Buraglio, du 2 octobre au 18 novembre, intitulée “Fenêtre à Tanger”. Cet artiste reconnu sur la scène internationale, membre du groupe Supports/Surfaces, a retenu pour sa 1ère exposition à la galerie Delacroix, des bleus, des verts et des ocres, des couleurs défaites de leur valeur esthétisante par le recyclage et le réemploi de matériaux dont la réalité physique nous renvoie à la réalité physique du monde extérieur.
Au programme figure également la présentation des pièces théâtrales “Rue des voleurs” de Mathias Enard, en partenariat avec le Festival international de Tanger de théâtre, et “Mazroube” d’Emilie Malosse, qui raconte comment un auteur, après avoir consacré sa vie à l’écriture, se retrouve pour la première fois coincé devant sa page blanche, à cause des souvenirs d’enfance qui lui échappent.
Par ailleurs, l’Institut français du Maroc, en partenariat avec le Festival Nuits Sonores Tanger, met en valeur le savoir-faire français en matière de musique électronique et organise une résidence de création entre artistes français et marocains. Cette année, le public du Festival Nuits Sonores Tanger sera amené à découvrir les productions de Para One, artiste phare de la scène “French Touch”, ainsi que le fruit de la résidence en studio qu’il aura réalisé à partir du 1er octobre avec des musiciens marocains, imprégnés des traditions musicales gnaoua et soufie. Au menu des activités de l’institut figurent également le vernissage de l’exposition de Saad Hassani, du 27 novembre au 15 janvier, à travers laquelle l’artiste explore le fond secret des traces et des signes, ainsi que des rencontres avec l’écrivain Eric Audinet, en résidence de création littéraire, l’auteur Erik Poulet-Reney, et des conférences sur “La Syrie, de l’Antiquité au début du XXIème siècle”, animée par Annick Leclerc, et sur “La nature et culture dans la littérature marocaine francophone” donnée par Annie Devergnas. A cela s’ajoutent des rencontres-lectures avec Dominique Nouiga, autour de son roman “Les noces du chacal” (La Croisée des chemins, 2014), et avec Eric Fottorino autour de son dernier roman “Chevrotine” (Gallimard, 2014).