Autres articles
-
La commission d'aide à la production des œuvres cinématographiques dévoile les projets admis à l'avance sur recettes au titre de la 1ère session de 2024
-
Fatima Nouali Azar, membre du jury de la compétition des courts métrages
-
Le film marocain "Coup de tampon" projeté à Cotonou
-
La Journée mondiale du théâtre célébrée en grande pompe à Marrakech
-
L’ICESCO appelle à renforcer l’intégration du “père de tous les arts” dans les programmes scolaires
Si le Maroc compte une multitude d’événements dédiés au cinéma programmés tout au long de l’année, le Festival international cinéma et littérature de Safi (FICLS) a cette particularité d’être entièrement consacré aux films adaptés d’œuvres littéraires.
La 1ère édition de ce festival, prévue du 25 au 31 octobre courant à la cité de l’Atlantique, projettera essentiellement des films adaptés d’œuvres littéraires dont des romans, des nouvelles et des contes, entre autres. Cette manifestation culturelle offre ainsi une opportunité unique de réunir les auteurs d’œuvres littéraires et les éditeurs, d’une part, et les auteurs d’œuvres cinématographiques et producteurs, d’autre part, afin d’encourager l’adaptation des œuvres littéraires au cinéma.
Pour le président délégué du FICLS, Driss Chouika, le cinéma et la littérature sont deux modes d’expression différents mais bien complémentaires. D’où, a-t-il expliqué, ce festival sera un moment d’échange privilégié très productif et générateur d’idées constructives capables de contribuer à l’évolution enrichissante de ces deux modes d’expression.
En effet, le septième art n’a cessé, depuis ses débuts, de puiser son inspiration dans les œuvres littéraires qui ont gagné en célébrité grâce à ces adaptations au cinéma. Pour les réalisateurs et les producteurs, parier sur un scénario s’inspirant d’une œuvre littéraire peut rassurer quant à la réussite de l’œuvre cinématographique.
L’adaptation d’une œuvre littéraire au cinéma suscite toujours une curiosité de la part d’un public qui a déjà lu l’histoire, mais qui souhaite découvrir l’adaptation. Toutefois, Driss Chouika déplore le fait que dans l’histoire du cinéma marocain, rares sont les œuvres littéraires, ne dépassant pas une dizaine, qui ont été adaptées au cinéma.
Tout en refusant de qualifier cette situation de "répugnance" entre les écrivains et les auteurs d’œuvres cinématographiques, ce cinéaste de renom opte, plutôt, pour un rapprochement entre ces deux modes d’expression, chose qui ne pourra qu’être bénéfique à la fois aux films cinématographiques et aux œuvres littéraires elles-mêmes.
La 1ère édition du Festival international cinéma et littérature de Safi a été justement conçue pour favoriser ce rapprochement entre les auteurs d’œuvres littéraires et les auteurs d’œuvres cinématographiques dans la perspective de dissiper ce "malentendu" entre les écrivains marocains et producteurs et réalisateurs cinématographiques.
Ces artistes appartenant à deux modes d’expression différents viendront échanger dans le cadre de ce festival afin de penser davantage à des projets communs, qui permettront d’une part d’enrichir les œuvres cinématographiques et d’autre part la diffusion des œuvres littéraires auprès d’un large public. Il est à souligner que les œuvres cinématographiques qui seront projetées dans le cadre de ce festival, ont été adaptées au cinéma d’œuvres littéraires d’écrivains célèbres.
La 1ère édition de ce festival, prévue du 25 au 31 octobre courant à la cité de l’Atlantique, projettera essentiellement des films adaptés d’œuvres littéraires dont des romans, des nouvelles et des contes, entre autres. Cette manifestation culturelle offre ainsi une opportunité unique de réunir les auteurs d’œuvres littéraires et les éditeurs, d’une part, et les auteurs d’œuvres cinématographiques et producteurs, d’autre part, afin d’encourager l’adaptation des œuvres littéraires au cinéma.
Pour le président délégué du FICLS, Driss Chouika, le cinéma et la littérature sont deux modes d’expression différents mais bien complémentaires. D’où, a-t-il expliqué, ce festival sera un moment d’échange privilégié très productif et générateur d’idées constructives capables de contribuer à l’évolution enrichissante de ces deux modes d’expression.
En effet, le septième art n’a cessé, depuis ses débuts, de puiser son inspiration dans les œuvres littéraires qui ont gagné en célébrité grâce à ces adaptations au cinéma. Pour les réalisateurs et les producteurs, parier sur un scénario s’inspirant d’une œuvre littéraire peut rassurer quant à la réussite de l’œuvre cinématographique.
L’adaptation d’une œuvre littéraire au cinéma suscite toujours une curiosité de la part d’un public qui a déjà lu l’histoire, mais qui souhaite découvrir l’adaptation. Toutefois, Driss Chouika déplore le fait que dans l’histoire du cinéma marocain, rares sont les œuvres littéraires, ne dépassant pas une dizaine, qui ont été adaptées au cinéma.
Tout en refusant de qualifier cette situation de "répugnance" entre les écrivains et les auteurs d’œuvres cinématographiques, ce cinéaste de renom opte, plutôt, pour un rapprochement entre ces deux modes d’expression, chose qui ne pourra qu’être bénéfique à la fois aux films cinématographiques et aux œuvres littéraires elles-mêmes.
La 1ère édition du Festival international cinéma et littérature de Safi a été justement conçue pour favoriser ce rapprochement entre les auteurs d’œuvres littéraires et les auteurs d’œuvres cinématographiques dans la perspective de dissiper ce "malentendu" entre les écrivains marocains et producteurs et réalisateurs cinématographiques.
Ces artistes appartenant à deux modes d’expression différents viendront échanger dans le cadre de ce festival afin de penser davantage à des projets communs, qui permettront d’une part d’enrichir les œuvres cinématographiques et d’autre part la diffusion des œuvres littéraires auprès d’un large public. Il est à souligner que les œuvres cinématographiques qui seront projetées dans le cadre de ce festival, ont été adaptées au cinéma d’œuvres littéraires d’écrivains célèbres.