Autres articles
-
Exposition de bijoux au Théatre Italia
-
Un concert aux couleurs d’été à Casablanca signé Laila Al Habash
-
Rencontre culturelle à New York sur les oeuvres du réalisateur marocain Ahmed El Maanouni
-
Rabat accueille l’univers unique de quatre figures clés de l'art contemporain new-yorkais
-
Le cinéma marocain s'invite à Manille
La plus belle brochette de gros bras à l'écran de tous les temps: c'est la promesse d"Expendables 3", où Stallone, Schwarzenegger et Gibson font tout pour montrer que les héros ne sont pas si fatigués.
Le film produit, écrit et joué par Sylvester Stallone, réalisé par Patrick Hughes, se veut un cocktail de superstars confirmées (Harrison Ford, Mel Gibson, Wesley Snipes, Antonio Banderas...) et de jeunes vedettes des films d'action (Kellan Lutz), un mélange de scènes de tirs, d'explosions à l'ancienne, et de gadgets plus technologiques.
Le troisième volet de cette série, qui est sortie mercredi aux Etats-Unis et le 20 août dans le reste du monde, fait reprendre du service à Barney Ross et son équipe de commandos d'intervention, qui pensaient avoir éliminé Conrad Stonebanks, cofondateur des "Expendables" passé au trafic d'armes.
Stonebanks a en fait survécu et il est accusé de crimes de guerre. Max Drummer, de la CIA, veut sa tête. Après une première intervention ratée, Barney annonce dans le bien nommé bar "Rusty's" (rouillé) à sa "vieille" équipe (Jason Statham, Dolph Lundgren, Randy Couture...) qu'il les met en retraite forcée.
Il veut recruter une nouvelle équipe de petits jeunes "qui ont faim". Après avoir raillé les méthodes très "1985" de leur chef, ces derniers se font capturer comme des bleus par Stonebanks.
La vieille équipe des "Expendables" part alors à leur rescousse, accompagnée d'Harrison Ford, Jet Li, Arnold Schwarzenegger et Antonio Banderas, en insupportable et désopilant tueur pipelette.