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La Chine aspire à une coopération tripartite avec l’Afrique et l’Europe à partir du Maroc en tant que seul pays reliant la mer Méditerranée et l’Océan atlantique, a affirmé, récemment à Casablanca, l’ambassadeur chinois à Rabat, Sun Shuzhong.
Intervenant au premier colloque académique international, qui s’est tenu à la Bibliothèque universitaire Mohamed Sekkat de l’Université Hassan II sous le thème “Aux deux bords de la route de la soie : le Maroc et la Chine”, M. Sun a indiqué que Pékin est animé d’une grande volonté de renforcer les liens de coopération avec Rabat, notant que la Chine et le Maroc disposent d’atouts majeurs et de grandes potentialités à même de contribuer à la relance de la dynamique économique et culturelle à travers le monde.
Gagner tous ces paris exige d’instituer des partenariats qui tiennent compte des intérêts mutuels de tous les pays qui consolident la confiance politique entre eux, comme cela suppose d’adhérer à des initiatives de développement intégré et cohérent, qui exploitent au mieux les ressources et les moyens disponibles dans les deux pays ou dans les pays du pourtour africain et asiatique, estime le diplomate chinois.
Il a, à ce propos, expliqué que c’est dans cette optique que la Chine avait lancé d’importantes initiatives pour renforcer ses relations de coopération économique avec un certain nombre de pays africains, européens et asiatiques suivant le principe gagnant-gagnant, citant particulièrement le projet de la route maritime de la soie du 21ème siècle et la ceinture économique de la route de la soie.
Ces deux grandes initiatives, lancées par le président chinois Xi Jinping lors de sa visite à l’Asie centrale et au Sud-est asiatique en septembre et octobre 2013, visent à consolider les relations politiques entre les pays concernés par la route maritime de la soie, à renforcer les infrastructures, à mettre en place des zones industrielles et à promouvoir le commerce et la circulation des capitaux entre les pays concernés par cette route, souligne le diplomate chinois.
La route de la soie représentait un des principaux passages qui reliaient la Chine et les parties du Sud et de l’Ouest de l’Asie centrale et de l’Inde avec les régions limitrophes de l’Afrique et de l’Europe. Elle constituait un itinéraire principal pour le passage régulier des caravanes de commerce à usage terrestre et maritime entre ces différents pays et ce, durant presque mille cinq cents ans.
Ce premier colloque académique international de trois jours a été organisé par l’Université Hassan II de Casablanca, en partenariat avec l’Université des études internationales de Shanghai. La tenue de ce colloque s’inscrit dans le cadre des efforts déployés par l’Université marocaine en vue de soutenir le projet du renouveau de la route de la soie.
Grâce à son emplacement stratégique, à sa position comme acteur principal dans la zone afro-méditerranéenne et arabo-musulmane ainsi qu’à son adhésion effective à une stratégie alternative visant la consolidation de la coopération Sud/Sud, le Maroc est à même de contribuer à la construction d’un partenariat solide visant la concrétisation des attentes et des aspirations des peuples de ces régions aussi bien sur le plan politique qu’économique.
Intervenant au premier colloque académique international, qui s’est tenu à la Bibliothèque universitaire Mohamed Sekkat de l’Université Hassan II sous le thème “Aux deux bords de la route de la soie : le Maroc et la Chine”, M. Sun a indiqué que Pékin est animé d’une grande volonté de renforcer les liens de coopération avec Rabat, notant que la Chine et le Maroc disposent d’atouts majeurs et de grandes potentialités à même de contribuer à la relance de la dynamique économique et culturelle à travers le monde.
Gagner tous ces paris exige d’instituer des partenariats qui tiennent compte des intérêts mutuels de tous les pays qui consolident la confiance politique entre eux, comme cela suppose d’adhérer à des initiatives de développement intégré et cohérent, qui exploitent au mieux les ressources et les moyens disponibles dans les deux pays ou dans les pays du pourtour africain et asiatique, estime le diplomate chinois.
Il a, à ce propos, expliqué que c’est dans cette optique que la Chine avait lancé d’importantes initiatives pour renforcer ses relations de coopération économique avec un certain nombre de pays africains, européens et asiatiques suivant le principe gagnant-gagnant, citant particulièrement le projet de la route maritime de la soie du 21ème siècle et la ceinture économique de la route de la soie.
Ces deux grandes initiatives, lancées par le président chinois Xi Jinping lors de sa visite à l’Asie centrale et au Sud-est asiatique en septembre et octobre 2013, visent à consolider les relations politiques entre les pays concernés par la route maritime de la soie, à renforcer les infrastructures, à mettre en place des zones industrielles et à promouvoir le commerce et la circulation des capitaux entre les pays concernés par cette route, souligne le diplomate chinois.
La route de la soie représentait un des principaux passages qui reliaient la Chine et les parties du Sud et de l’Ouest de l’Asie centrale et de l’Inde avec les régions limitrophes de l’Afrique et de l’Europe. Elle constituait un itinéraire principal pour le passage régulier des caravanes de commerce à usage terrestre et maritime entre ces différents pays et ce, durant presque mille cinq cents ans.
Ce premier colloque académique international de trois jours a été organisé par l’Université Hassan II de Casablanca, en partenariat avec l’Université des études internationales de Shanghai. La tenue de ce colloque s’inscrit dans le cadre des efforts déployés par l’Université marocaine en vue de soutenir le projet du renouveau de la route de la soie.
Grâce à son emplacement stratégique, à sa position comme acteur principal dans la zone afro-méditerranéenne et arabo-musulmane ainsi qu’à son adhésion effective à une stratégie alternative visant la consolidation de la coopération Sud/Sud, le Maroc est à même de contribuer à la construction d’un partenariat solide visant la concrétisation des attentes et des aspirations des peuples de ces régions aussi bien sur le plan politique qu’économique.
