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L'artiste est le miroir de sa culture et de ses origines, a relevé, vendredi à Rabat, le chanteur marocain de raï Abdelhafid Douzi qui s’est produit en concert sur la grande scène de Salé, et ce dans le cadre du Festival Mawazine-rythmes du monde qui a pris fin samedi.
Animant une conférence de presse peu avant son concert, l'inimitable chanteur de raï a fait remarquer que "tout artiste a la tâche de refléter l'image de sa culture et de ses origines, d’œuvrer à la diffusion des valeurs de tolérance et de lutter contre la xénophobie et l’extrémisme, sous toutes leurs formes". "Le rôle de l’artiste est donc de véhiculer un message de paix, à travers le langage universel qu’est la musique, l'objectif étant d’unir les peuples et de rectifier l'image faussée et fallacieuse que certains ont, de nos jours, sur l’Islam qui prône l'amour, la tolérance et l'acceptation de l'Autre", a ajouté l'artiste marocain installé en Belgique. Il a à ce propos condamné les attentats qui avaient frappé Bruxelles en mars dernier, soulignant qu’"il s’agit d’un acte inadmissible qui a affecté le monde entier et attenté à l’image de l’Islam".
Coqueluche des Marocains, Douzi fredonnait déjà, à l’âge de 3 ans, des chansons et plus particulièrement du répertoire hindou, ce qui a permis à ce jeune chanteur de développer ses cordes vocales. Le succès a été au rendez-vous dès la sortie de son premier album, "Goulou Lmimti Tjini", en 1994. Un premier opus qui sera suivi d’une dizaine d’autres, interprétés en français, en arabe, en turque ou encore en hindou, lui ouvrant ainsi grandes les portes de la réussite. Le dernier tube en date "Douni labladi" fait un tabac sur les ondes depuis plusieurs mois.
Animant une conférence de presse peu avant son concert, l'inimitable chanteur de raï a fait remarquer que "tout artiste a la tâche de refléter l'image de sa culture et de ses origines, d’œuvrer à la diffusion des valeurs de tolérance et de lutter contre la xénophobie et l’extrémisme, sous toutes leurs formes". "Le rôle de l’artiste est donc de véhiculer un message de paix, à travers le langage universel qu’est la musique, l'objectif étant d’unir les peuples et de rectifier l'image faussée et fallacieuse que certains ont, de nos jours, sur l’Islam qui prône l'amour, la tolérance et l'acceptation de l'Autre", a ajouté l'artiste marocain installé en Belgique. Il a à ce propos condamné les attentats qui avaient frappé Bruxelles en mars dernier, soulignant qu’"il s’agit d’un acte inadmissible qui a affecté le monde entier et attenté à l’image de l’Islam".
Coqueluche des Marocains, Douzi fredonnait déjà, à l’âge de 3 ans, des chansons et plus particulièrement du répertoire hindou, ce qui a permis à ce jeune chanteur de développer ses cordes vocales. Le succès a été au rendez-vous dès la sortie de son premier album, "Goulou Lmimti Tjini", en 1994. Un premier opus qui sera suivi d’une dizaine d’autres, interprétés en français, en arabe, en turque ou encore en hindou, lui ouvrant ainsi grandes les portes de la réussite. Le dernier tube en date "Douni labladi" fait un tabac sur les ondes depuis plusieurs mois.