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Des professionnels et des spécialistes étaient en conclave, jeudi à Skhirat, pour débattre des contraintes liées à la production cinématographique.
Animant une table ronde, organisée en marge de la 3è édition du Festival ciné-plage Harhoura (28 août-1er septembre), les intervenants ont mis l’accent sur les difficultés liées aux moyens de financement des films, notamment les subventions publiques qui posent le problème du “retard de déblocage des tranches”, ce qui handicape le processus de production. Ils ont également évoqué le manque de réseaux de distribution, de salles de cinéma et de studios de tournage suffisamment équipés, appelant à renforcer davantage le système de soutien aux films marocains. Organisé à l’initiative de l’Association marocaine des arts sans frontières (AMAF), ce festival prévoit la projection de six films marocains dans le cadre de la compétition officielle. Au programme, figurent également un hommage à des célébrités qui ont marqué le 7ème art marocain, ainsi que des activités culturelles, artistiques et sportives, des ateliers encadrés par des réalisateurs et scénaristes et une visite à la maison de retraite à Ain Atiq. Selon les organisateurs, cette manifestation cinématographique vise à protéger, entretenir et développer un cinéma riche et diversifié, pour le bonheur d’un public à la recherche d’authenticité et de loisirs en cette saison estivale.
Animant une table ronde, organisée en marge de la 3è édition du Festival ciné-plage Harhoura (28 août-1er septembre), les intervenants ont mis l’accent sur les difficultés liées aux moyens de financement des films, notamment les subventions publiques qui posent le problème du “retard de déblocage des tranches”, ce qui handicape le processus de production. Ils ont également évoqué le manque de réseaux de distribution, de salles de cinéma et de studios de tournage suffisamment équipés, appelant à renforcer davantage le système de soutien aux films marocains. Organisé à l’initiative de l’Association marocaine des arts sans frontières (AMAF), ce festival prévoit la projection de six films marocains dans le cadre de la compétition officielle. Au programme, figurent également un hommage à des célébrités qui ont marqué le 7ème art marocain, ainsi que des activités culturelles, artistiques et sportives, des ateliers encadrés par des réalisateurs et scénaristes et une visite à la maison de retraite à Ain Atiq. Selon les organisateurs, cette manifestation cinématographique vise à protéger, entretenir et développer un cinéma riche et diversifié, pour le bonheur d’un public à la recherche d’authenticité et de loisirs en cette saison estivale.