Autres articles
-
Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents
-
Santé cardiovasculaire : Les bienfaits des produits végétaux dépendent de leur niveau de transformation
-
Lien entre les investissements dans les soins de santé pédiatriques et la prospérité
-
Plébiscité par les grandes maisons de luxe, le cuir "Made in Nigeria" se trace un avenir local
-
Une "planète vagabonde" engloutit gaz et poussières à un rythme effréné
Des astronomes européens ont repéré 32 nouvelles exoplanètes grâce au spectrographe Harps, installé sur un télescope de l’European Southern Observatory à la Scilla au Chili. Elles ont été découvertes dans plus de 30 systèmes planétaires différents.
Les 32 exoplanètes sont pour la plupart très grandes. Certaines font 5 fois la taille de la Terre et d’autres sont 5 fois plus grandes que Jupiter. Les technologies utilisées pour les repérer sont très pointues mais pas assez pour apercevoir leur surface. Impossible également d’en analyser l’atmosphère, donc de déterminer si elles pourraient être habitables. “Ce serait vraiment difficile pour Harps de trouver une Terre réelle” a expliqué Stéphane Udry de l’Observatoire de Genève, qui travaille avec l’équipe de chercheurs.
Après 5 ans de recherches, les découvertes de Harps ont permis aux chercheurs d’en apprendre davantage sur la naissance des étoiles et la formation des planètes. Près de 2.000 étoiles ont été étudiées. Le nombre d’exoplanètes connues s’élève désormais à 400. Les analyses ont par exemple montré que les périodes orbitales des planètes peuvent atteindre des milliers de jours contrairement à celle de la Terre.
L’équipe d’astronomes poursuit maintenant ses recherches en se concentrant sur les « super-Terres » orbitant autour d’étoiles solaires : le nombre connu de ce type de planètes a en effet augmenté de 30 % grâce aux recherches de Harps.
Les 32 exoplanètes sont pour la plupart très grandes. Certaines font 5 fois la taille de la Terre et d’autres sont 5 fois plus grandes que Jupiter. Les technologies utilisées pour les repérer sont très pointues mais pas assez pour apercevoir leur surface. Impossible également d’en analyser l’atmosphère, donc de déterminer si elles pourraient être habitables. “Ce serait vraiment difficile pour Harps de trouver une Terre réelle” a expliqué Stéphane Udry de l’Observatoire de Genève, qui travaille avec l’équipe de chercheurs.
Après 5 ans de recherches, les découvertes de Harps ont permis aux chercheurs d’en apprendre davantage sur la naissance des étoiles et la formation des planètes. Près de 2.000 étoiles ont été étudiées. Le nombre d’exoplanètes connues s’élève désormais à 400. Les analyses ont par exemple montré que les périodes orbitales des planètes peuvent atteindre des milliers de jours contrairement à celle de la Terre.
L’équipe d’astronomes poursuit maintenant ses recherches en se concentrant sur les « super-Terres » orbitant autour d’étoiles solaires : le nombre connu de ce type de planètes a en effet augmenté de 30 % grâce aux recherches de Harps.