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Ambiance bon enfant et spectacles hauts en couleur. Le 3è Festival national des arts de la rue a pris fin dimanche soir à Fès. Enfants, jeunes femmes et hommes, tout le monde était de la fête. Le boulevard Hassan II, la place Florence et l’historique et monumentale place Boujloud ont vécu, trois nuitées durant, au rythme de différents arts de la rue. Musique, jeux, sculpture et peinture, ainsi que danses folkloriques … l’heure était à la fête, au grand bonheur du public. Et toute une ville s’est transformée en un spectacle à ciel ouvert.
Tendant à promouvoir la culture marocaine, à soutenir les jeunes talents et à renforcer les échanges culturels entre les pays, cette manifestation artistique qui avait démarré vendredi 17 juin a bien atteint ses objectifs. Elle a d’abord permis à de nombreux talents de s’exprimer directement devant le public. Elle a aussi contribué à faire prévaloir un patrimoine marocain riche et varié.
Les trois scènes installées au Boulevard Hassan II avaient aussi accueilli des troupes populaires qui ont fait montre de créativité pour enthousiasmer l’assistance. Le timing est plus que propice. Les gens préfèrent passer leurs soirées en ce mois de Ramadan à la recherche d’air frais. Les spectacles sont bariolés : différents goûts, costumes, instruments, styles… Tout cela a de quoi satisfaire le public et de quoi en faire un festival populaire.
Au cours du festival, les organisateurs ont rendu hommage à deux des plus fidèles de l’animation culturelle et de l’expression artistique : les journalistes Ahmed Chiki et Brahim Demnati. Une manière de s’ouvrir sur les potentialités de la ville et de montrer un signe de reconnaissance pour des gens au service des arts et de la culture.
«L’idée a germé en 2013 lorsque plusieurs associations locales avaient proposé au ministère de la Culture d’envisager une manifestation des arts de la rue. Nous avons trouvé la proposition intéressante d’autant plus qu’elle contribue à l’enrichissement de notre culture», indique Mansour Akrach, de la direction des arts au ministère. Pour une troisième édition, l’on peut d’ores et déjà parler d’un événement qui prendra certainement de l’ampleur.
Tendant à promouvoir la culture marocaine, à soutenir les jeunes talents et à renforcer les échanges culturels entre les pays, cette manifestation artistique qui avait démarré vendredi 17 juin a bien atteint ses objectifs. Elle a d’abord permis à de nombreux talents de s’exprimer directement devant le public. Elle a aussi contribué à faire prévaloir un patrimoine marocain riche et varié.
Les trois scènes installées au Boulevard Hassan II avaient aussi accueilli des troupes populaires qui ont fait montre de créativité pour enthousiasmer l’assistance. Le timing est plus que propice. Les gens préfèrent passer leurs soirées en ce mois de Ramadan à la recherche d’air frais. Les spectacles sont bariolés : différents goûts, costumes, instruments, styles… Tout cela a de quoi satisfaire le public et de quoi en faire un festival populaire.
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«L’idée a germé en 2013 lorsque plusieurs associations locales avaient proposé au ministère de la Culture d’envisager une manifestation des arts de la rue. Nous avons trouvé la proposition intéressante d’autant plus qu’elle contribue à l’enrichissement de notre culture», indique Mansour Akrach, de la direction des arts au ministère. Pour une troisième édition, l’on peut d’ores et déjà parler d’un événement qui prendra certainement de l’ampleur.