-
Les efforts du Maroc salués à Budapest
-
Le Maroc et l’Italie signent l’Accord sur la reconnaissance mutuelle des permis de conduire
-
La Cour de cassation confirme l’inéligibilité d’Abdellatif Yako à la présidence du Conseil régional des notaires de Casablanca
-
Retraite et droit de grève en pierre d’achoppement
-
L’approche algérienne promouvant le séparatisme et la déstabilisation désormais isolée
Suite aux grands changements, tant sur le plan sous-régional qu’au niveau international, la reconnaissance du Polisario commence à régresser et plusieurs des pays l’ayant reconnu ont annoncé le retrait de cette reconnaissance alors que d’autres l’ont gelée.
Rappelons que seuls 34 pays répartis entre les continents africain et sud-américain maintiennent cette reconnaissance ou entretiennent des relations avec cette entité, rappellent les médias algériens en ajoutant que les pays ayant retiré, gelé ou suspendu leur reconnaissance sont au nombre de 46.
Mais à cause de cette série de retrait, gel ou suspension de cette reconnaissance, le Polisario fait des mains et des pieds pour se rapprocher de la Nouvelle-Zélande qui assure la présidence, pour un mois, du Conseil de sécurité. Ainsi, dans cet objectif, le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lahmamra, s’est réuni mercredi 21 septembre en marge de la 71e session de l’Assemblée générale de l’ONU avec son homologue néo-zélandais, Murray McCully. Les discussions entre les deux diplomates ont porté, selon l’APS, sur le différend territorial. Dossier sur lequel les deux pays partagent les mêmes idées. La rencontre était l’occasion pour Lahmamra de féliciter Murray McCully pour le rôle «remarquable» que joue son pays en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité. La Nouvelle-Zélande avait en effet voté contre la résolution 2285, approuvée le 29 avril par une large majorité des Quinze.
La Nouvelle-Zélande s’était, on s’en souvient, prononcée, aux côtés de l’Uruguay et du Venezuela, en faveur de sanctions contre le Royaume, en réponse à sa décision d’expulser en mars environ 80 agents de la composante civile et politique de la Minurso. Une position que ce pays maintient d’ailleurs toujours.