Autres articles
-
Jalil Bennani : Les écrivains maghrébins doivent transcender les frontières et choisir des détours
-
Les participants du programme "Ektashif" bientôt au Maroc pour un voyage découverte
-
Mise en exergue à Rabat du rôle du Maroc dans la préservation de l’authenticité du zellige et du caftan marocains
-
Abdelilah El Jaouhari : Le 7ème art marocain est à la hauteur des attentes du cinéma mondial
-
Bayân et figures de style
Le film "Cargo" du réalisateur libanais Karim Rahbani, projeté jeudi dans le cadre de la compétition officielle du 15ème Festival du court-métrage méditerranéen de Tanger (FCMMT), est un court-métrage qui braque les projecteurs sur le calvaire des réfugiés syriens au Liban.
Ce film (20 min), qui dépeint la vie des Syriens qui fuient leur pays pour se réfugier au Liban mais aussi leurs souffrances, relate l'histoire tragique d'un garçon syrien de 7 ans qui se trouve perdu au milieu de la plaine de la Bekaa au Liban, après avoir quitté la Syrie à cause de la guerre. Le petit Abed et son grand-père malade se rendent ensuite à Beyrouth et font face à un destin impitoyable.
Contraint de prendre soin de son grand-père atteint d'Alzheimer, le petit garçon n'a d'autre choix que de faire la manche pour pouvoir lui acheter le médicament. Et comme un malheur ne vient jamais seul, l'enfant verra sa situation se détériorer à cause d'un horrible accident.
D'après le réalisateur, le choix de Cargo comme titre est motivé par le fait que les réfugiés syriens sont souvent conduits vers le Liban dans des cargos. "Le grand-père et son neveu ont fui la Syrie dans un cargo et à leur arrivée au Bekaa, où ils vont perdre leurs bagages, une actrice va les accueillir dans un foyer à elle à Beyrouth", raconte Karim Rahbani.
Sous-titré en anglais, "Cargo" est interprété par Abed El Hady Assaf, Cynthia Khalifeh et Saad El Dine Moukhalalati. Il s'agit du troisième court-métrage de Karim Rahbani, après "With the spirit" sorti en 2014 et "Have you checked" en 2013.
55 courts-métrages, dont 5 signés par des réalisateurs marocains de différentes générations, sont en lice pour décrocher un ou plusieurs prix décernés par le festival.
Ce film (20 min), qui dépeint la vie des Syriens qui fuient leur pays pour se réfugier au Liban mais aussi leurs souffrances, relate l'histoire tragique d'un garçon syrien de 7 ans qui se trouve perdu au milieu de la plaine de la Bekaa au Liban, après avoir quitté la Syrie à cause de la guerre. Le petit Abed et son grand-père malade se rendent ensuite à Beyrouth et font face à un destin impitoyable.
Contraint de prendre soin de son grand-père atteint d'Alzheimer, le petit garçon n'a d'autre choix que de faire la manche pour pouvoir lui acheter le médicament. Et comme un malheur ne vient jamais seul, l'enfant verra sa situation se détériorer à cause d'un horrible accident.
D'après le réalisateur, le choix de Cargo comme titre est motivé par le fait que les réfugiés syriens sont souvent conduits vers le Liban dans des cargos. "Le grand-père et son neveu ont fui la Syrie dans un cargo et à leur arrivée au Bekaa, où ils vont perdre leurs bagages, une actrice va les accueillir dans un foyer à elle à Beyrouth", raconte Karim Rahbani.
Sous-titré en anglais, "Cargo" est interprété par Abed El Hady Assaf, Cynthia Khalifeh et Saad El Dine Moukhalalati. Il s'agit du troisième court-métrage de Karim Rahbani, après "With the spirit" sorti en 2014 et "Have you checked" en 2013.
55 courts-métrages, dont 5 signés par des réalisateurs marocains de différentes générations, sont en lice pour décrocher un ou plusieurs prix décernés par le festival.