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Festival Timitar
Le coup d'envoi de la 11ème édition du Festival Timitar Signes et culture a été donné, mercredi soir à Agadir, avec à la clé une riche palette de spectacles, de sons et de rythmes qui se veulent, comme à l'accoutumée, une invite au partage d'un voyage musical de quatre jours, riche et intense réunissant artistes amazighs et artistes du monde.
Placée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, cette manifestation artistique (18/21 juin) a démarré à la Place Al Amal avec Ahwach Aït Baâmrane, avant de passer le relais à l'artiste amazigh Ali Faiq, qui s'inspire de la musique des Rways, puis à l'Orchestre national de Barbès (France), Rayss Outaleb Lamzoudi et au VJ Addictive TV (Royaume-Uni).
Au Théâtre de Verdure, les mélomanes ont eu droit à l'afro-beat avec Sia Tolno de la Guinée Conakry, aux prestations de la chanteuse américaine résidente au Maroc Jennifer Grout et de la chanteuse marocaine résidente aux Etats-Unis Nidal Ibourk avec l'Ensemble Rachid Zeroual, ainsi qu'aux airs langoureux de Lahoucine Aït Baâmrane.
Bernard Pivot
Dans ses bagages, une caisse de livres: l'été de Bernard Pivot, comme celui des autres jurés Goncourt, rimera avec intense lecture, même si le ballon rond "perturbera le mois de juillet", avoue ce fan de foot.
"Mes « devoirs de vacances » prendront un peu de retard... Les treize premiers jours de juillet vont être perturbés par la Coupe du monde, mais je me rattraperai !", confie à l'AFP l'un des plus célèbres journalistes littéraires et longtemps star du petit écran.
"Je ne lis pas en regardant un match, ni n'en regarde entre deux chapitres ! Et je fais une chronique sur le Mondial pour Le Soir", le journal belge, explique Bernard Pivot, qui fut consultant de France 2 pour quatre Coupes du monde.
"Pendant l'été, je lis une cinquantaine de romans français de la rentrée, très attentivement, et 25 auxquels je jette un œil et donne parfois une seconde chance. C'était la même chose du temps « d'Apostrophes »", relève Bernard Pivot, 79 ans et juré depuis 2004.