Bouillon de culture

DiCaprio
Il est engagé pour la défense de l’environnement et sait aussi jouer les producteurs via sa société Appian Way. Leonardo DiCaprio conciliera les deux casquettes pour financer l’adaptation de «The Sandcastle Empire», révèle le Hollywood Reporter. Ce roman écolo et post-apocalyptique, signé Kaya Olson, se situe en 2049. Il est centré sur les aventures d’Eden, une ado qui s’enfuit d’un camp de travail pour trouver son salut sur une île.
On ignore encore quel sera le casting et quel réalisateur ou réalisatrice se chargera de la mise en scène. En 2007, Leonardo DiCaprio avait déjà produit un documentaire sur l’environnement. «La 11e heure, le dernier virage», réalisé par Nadia Conners et Leila Conners Petersen, dressait un état des lieux de la planète et lançait plusieurs pistes pour restaurer l’écosystème.
Le 24 février, les spectateurs français retrouveront Leonardo DiCaprio sur grand écran en tant qu’acteur. Dans «The Revenant» d’Alejandro González Iñárritu, il incarne un trappeur luttant pour survivre en territoire hostile. Un rôle qui pourrait lui valoir son premier Oscar.

Exposition
L'artiste-peintre Abdallah Hariri expose, du 17 février au 15 mars prochain à la galerie Villa Delaporte de Casablanca, ses œuvres réalisées dans les années soixante-dix lors de ses séjours à Rome, à Lodz (Pologne) et à Paris. Cette décade a été caractérisée par le leadership de Hariri dans l'utilisation de la couleur unique, le noir, dont l'artiste explorait les nuances avec bonheur dans des tableaux aux contours polygonaux et aux dimensions variables. Ces œuvres, avec lesquelles il avait pris part à plusieurs manifestations artistiques à l'étranger, ont été exposées par la suite à Rabat en 1978  provoquant la stupéfaction des critiques et des artistes peu habitués à cette  nouvelle technique, car la couleur noire, par ailleurs difficile à manier, faisait peur même aux génies. "Le noir n'est pas une couleur", disait Léonard de Vinci.